Lucifersignifie porteur de Lumière. C’est différent de Satan. Dans notre sommeil, ou en sortie astrale, on peut ne pas fréquenter les endroits les plus sains, les plus paisibles. C’est possible. Il peut aussi y avoir des êtres malveillants chez soi. La sauge blanche peut nettoyer les lieux et les corps. Bon courage.
Où en est la science sur cette question fondamentale? Témoignages, expériences, avis ... Faites vous votre opinion!!Mots clés expériencedemortimminente, coma, sortiedecorps, âme, conscience, medium, Vidéo ajoutée le 16/01/19 44 Etsi tout ce qu'on apprend dans les médias du genre : " Abdel c fai assassinay par Jean Chrysolithe qui la poiniardé a cou de saucisson, il en é Pour élever notre vie, nous devrions développer une compréhension correcte de la question essentielle de la vie et de la mort, et une conscience aiguë de l’importance considérable de la mort, plutôt que d’essayer d’en ignorer le caractère savons tous que nous mourrons un jour. Mais nous nous accrochons à l’idée que ce sera un jour », en espérant que cela arrivera le plus tard possible, dans l’avenir. Les jeunes, bien entendu, cherchent à écarter la pensée de la mort, mais c’est également vrai des personnes âgées, et cela devient peut-être même de plus en plus vrai à mesure que nous avançons en la réalité de la vie est qu’elle peut cesser à tout instant. L’éventualité de la mort est toujours présente – qu’elle vienne d’un tremblement de terre, d’un accident ou d’une maladie soudaine. Nous choisissons simplement de l’ l’a fait remarquer un jour quelqu’un La mort ne nous attend pas en se plaçant devant nous ; elle s’approche de nous par derrière. »Pendant que nous continuons à tout remettre au lendemain, en nous disant, plus tard, je me lancerai un plus grand défi », ou je déploierai davantage d’efforts quand j’aurai terminé cette tâche », notre vie s’écoule et, avant même de nous en rendre compte, nous nous retrouvons face à la mort, sans avoir rien accompli, sans avoir accumulé de véritables et profonds trésors intérieurs en cette vie. De nombreuses personnes vivent de cette manière. Quand vient le dernier instant, il est trop tard pour éprouver des y réfléchissant, que la mort survienne dans trois jours, trois ans, ou dans trente ans, le problème reste fondamentalement le même. C’est pourquoi il est si important de vivre pleinement en ce moment même, de manière que, au moment de notre mort, nous n’ayons aucun regret. Du point de vue de l’éternité, même cent années équivalent à un seul instant. Il est tout à fait vrai, comme le dit Nichiren, que maintenant est le dernier instant de sa vie ». Écrits, 217 Le président Toda a dit aussi En réalité, le but de notre pratique bouddhique est de préparer notre mort. »Rien n’est plus certain que la mort. Le plus important est donc que, dès aujourd’hui, nous nous lancions dans la tâche consistant à accumuler les trésors du cœur », qui dureront pour l’éternité. Cependant, la plupart des gens négligent cette tâche, qui est la plus essentielle, ou la reportent à une date n’est plus important que ce que le bouddhisme appelle la grande et unique question de la vie et de la mort ». Comparé avec cette question essentielle, tout le reste est d’importance mineure – c’est là un fait qui devient parfaitement clair au moment de la personne qui a été au chevet de nombreux patients en phase terminale a dit Au cours de leurs derniers jours, il semble que les gens se remémorent souvent le cours de leur vie, comme s’ils regardaient un vaste panorama. Ce qui paraît ressortir alors n’est pas le fait d’avoir dirigé une entreprise ou d’avoir réussi en affaires, mais plutôt comment ils ont mené leur vie, qui ils ont aimé, envers qui ils ont fait preuve de bonté, et à qui ils ont fait du mal. Ce sont toutes les émotions les plus profondes – le sentiment d’avoir été fidèle à ses convictions et d’avoir mené une vie comblée, ou le regret douloureux d’avoir trahi les autres – qui les envahissent à l’approche de la mort. »Avoir conscience de la mort donne un sens plus profond à notre vie. S’éveiller à la réalité de la mort nous incite à rechercher l’éternel et nous motive pour tirer le maximum de chaque instant. Et si la mort n’existait pas ? Alors, la vie se poursuivrait indéfiniment et deviendrait probablement douloureuse et pénible. La mort nous fait chérir le présent. On dit que la civilisation moderne ignore ou dénie la mort. Ce n’est pas une coïncidence si cette civilisation est aussi caractérisée par une quête des désirs effrénée. Une société ou une civilisation, aussi bien qu’un être humain, qui tente d’éviter la question fondamentale de la vie et de la mort décline spirituellement en échouant à aller au-delà d’une vie au jour le jour. D’après La Sagesse du Sûtra du Lotus, vol. 4, publié en japonais en décembre 1998
Etsi l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. Matthieu 3:9 et ne prétendez pas dire en vous-mêmes: Nous avons Abraham pour père! Car je vous déclare que de ces pierres-ci Dieu peut
On ira tous au Paradis ! », chantait Michel Polnareff. L’enfer ? c’est ringard ! » Le Bon Dieu n’a pas pu inventer ça ! ».Philippe Laborie nous en parle… Cet été, à Notre-Dame du Laus, j’ai eu une belle discussion avec des personnes âgées au sujet de l’enfer. Elle me précise ne pas y croire. Et là, tout de go, je lui dis Mais si ! Heureusement que l’enfer existe ! », un brin provocateur. C’est le signe que le Seigneur nous laisse libre de le choisir et de l’aimer ». L’enfer, non voulu par Dieu, est le lieu habité par des âmes qui ont refusé la Miséricorde du Père. Il nous a créés pour Lui à son image et ressemblance tout en nous laissant libre deL’aimer. Satan, le premier à tomber en enfer, ne cesse d’attirer à lui d’autres âmes par haine absolue pour Dieu. L’enfer doit-il nous faire peur ? Oui et non. C’est bien un lieu d’extrêmes souffrances qui sont éternelles où la rémission est impossible Dans l’Hadès, en proie à des tortures, il lève les yeux et voit de loin Abraham, et Lazare en son sein. Alors il s’écria Père Abraham, aie pitié de moi et envoie Lazare tremper dans l’eau le bout de son doigt pour me rafraîchir la langue, car je suis tourmenté dans cette flamme. Mais Abraham dit Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et Lazare pareillement ses maux; maintenant ici il est consolé, et toi, tu es tourmenté. Ce n’est pas tout entre nous et vous un grand abîme a été fixé, afin que ceux qui voudraient passer d’ici chez vous ne le puissent, et qu’on ne traverse pas non plus de là-bas chez nous. » Evangile de Luc chap. 16, 23-26 Les petits enfants de Fatima ont fait également l’expérience de la vision de l’enfer. Ils en restèrent marqués à vie. J’ai eu l’occasion de faire une retraite de discernement selon les exercices de Saint Ignace. En début de retraite, il est demandé de méditer sur la vision de l’enfer. Pendant une vingtaine de minutes, je demande cette grâce, comme les petits pastoureaux, de faire l’expérience de la vision de l’enfer. Rien. Puis, en un éclair, je me suis vu regardant vers le bas attendant que la vision de l’enfer s’ouvre. Et, d’un coup, je me retourne vers le Ciel et vois Jésus et Marie qui me dise voilà ce qu’est l’enfer ! » Et je la vis s’éloigner pour finalement disparaître… L’enfer n’est autre que la séparation de la créature de son Créateur. La vraie douleur est que l’âme ce sait toujours aimée infiniment de Dieu même en enfer mais a choisi de s’en détacher pour toujours. La vraie liberté de l’Homme est de découvrir en ce monde que nous sommes faits pour Dieu, pour laisser l’Esprit-Saint enflammer tout notre être, pour se laisser purifier par Jésus et enfin se laisser aimer pour aimer le Père. Alors, oui, heureusement que l’enfer est possible pour moi, car je peux ainsi choisir librement d’aimer le Bon-Dieu ! Notre cité se trouve dans les cieux, nous verrons l’Épouse de l’Agneau, resplendissante de la gloire de Dieu, Céleste Jérusalem. Dieu aura sa demeure avec nous, Il essuiera les larmes de nos yeux, Il n’y aura plus de pleurs ni de peines. Car l’ancien monde s’en est allé. Et maintenant, voici le salut, Le règne et la puissance de Dieu, Soyez donc dans la joie vous les cieux, Il règnera sans fin dans les siècles. Tu penses quoi de la vie après la mort ? Et si on en parlait ensemble ? Chat' anonyme et gratuit
Tousles êtres existent, et c'est une évidence de dire que la pensée (et même l'imaginaire) et l' action supposent l'existence. Exister c'est être; être c'est exister. Ainsi l'existence est-elle quelque chose d'immédiat, qui constitue le commencement de tout. En ce sens, l'existence est le simple fait d'être, l'être conçu sans
Aux frontière de la une vidéo qui ne manquera pas de suscité et de capter votre un sujet majeur pour moi, et qui me tiens à cœur de vous pour moi plus qu’une évidence, quoi de plus normal en tant qu’ Valérie Seguin et Dominic Bachy Présentation Aurélie Godefroy – Narration François-Eric film présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des mourants, … et réunit pour la première fois un grand nombre de scientifiques réputés sur ce sujet, plusieurs médecins et neurologues Mario Beauregard, Steven Laureys, Thierry Janssen, Raymond Moody, François Lallier, Pim Van Lommel, Jean-Jacques Charbonier, Constance Yver-Elleaume, Olivier Chambon, etc. Des biologistes et des physiciens Sylvie Dethiollaz, Philippe Guillemant et Trinh Xuan Thuan. Mais aussi des personnalités notamment l’écrivain Didier van Cauwelaert. Quelles sont leurs conclusions?Pour lire le manifeste Pour une science post-matérialiste Vous aimerez aussi Un des très nombreux témoignages pour ceux qui ont besoin d’ouvrir les yeux sur la réalité de la vie après la de mort imminente de Frédéric MédinaUn sujet Tistrya Frédéric Médina raconte comment il a été mené à vivre une expérience de mort imminente, et quelles en ont été les conséquences sur sa vie par la site de Tistrya à vousPatricePour le site VidéosNavigation de l’article Sila vidéo ne s’affiche pas, cliquez sur ce lien : HAUSER- Conc Readmore Cette citation, cri de ralliement du nihilisme, et que l'on attribue très justement à Dostoïevski, n'existe pas en tant que telle c'est-à-dire sous cette forme vulgarisée. En effet, elle n'est que la condensation d'un passage des Frères Karamazov, dans lequel Dimitri l'un des trois frères s'exprime ainsi "Que faire si Dieu n'existe pas, si Rakitine a raison de prétendre que c'est une idée forgée par l'humanité ? Dans ce cas l'homme serait le roi de la terre, de l'univers. Très bien ! Seulement, comment sera-t-il vertueux sans Dieu ? Je me le demande. [...] En effet, qu'est ce que la vertu ? Réponds-moi Alexéi. Je ne me représente pas la vertu comme un chinois, c'est donc une chose relative ? L'est-elle, oui ou non ? Ou bien elle n'est pas une chose relative ? Question insidieuse. [...] Alors tout est permis ?" Paroles de Mitia Dimitri dans Les frères Karamazov de Dostoïevski, 4e partie, Livre XI, chapitre 4. Nietzsche s'est très largement inspiré de cette citation, notamment dans la Généalogie de la morale Troisième traité. C'est ainsi qu'il écrit au paragraphe 24 "Lorsque les croisés chrétiens se heurtèrent en Orient à l'invincible ordre des Assassins, cet ordre d'esprits libres par excellence dont les grades les plus bas vivaient dans une obéissance qu'aucun ordre monastique n'a égalée, ils reçurent par quelque voie une indication sur le symbole et la devise qui étaient réservés aux seuls grades supérieurs comme leur secret "rien n'est vrai, tout est permis"... Voilà, par exemple qui était de la liberté de l'esprit, cette formule congédiait la foi même en la vérité..." Nietzsche développe ensuite une réflexion sur le sens de l'existence à partir de cette idée de la mort de Dieu ou du vrai, qui culmine au paragraphe 28 du Troisième traité. Sartre a lui aussi repris à son compte la citation de Dostoïevski dans un passage célèbre de L'existentialisme est un humanisme "Dostoïevski avait écrit "Si Dieu n'existait pas, tout serait permis." C'est là le point de départ de l'existentialisme. En effet, tout est permis si Dieu n'existe pas, et par conséquent l'homme est délaissé, parce qu'il ne trouve ni en lui, ni hors de lui une possibilité de s'accrocher. Il ne trouve d'abord pas d'excuses. Si, en effet, l'existence précède l'essence, on ne pourra jamais expliquer par référence à une nature humaine donnée et figée ; autrement dit, pas de déterminisme, l'homme est libre, l'homme est liberté. Si, d'autre part, Dieu n'existe pas, nous ne trouvons pas en face de nous des valeurs ou des ordres qui légitimeront notre conduite. Ainsi, nous n'avons ni dernière nous, ni devant nous, dans le domaine numineux des valeurs, des justifications ou des excuses. Nous sommes seuls, sans excuses. C'est ce que j'exprimerai en disant que l'homme est condamné à être libre. Condamné, parce qu'il ne s'est pas créé lui-même, et par ailleurs cependant libre, parce qu'une fois jeté dans le monde, il est responsable de tout ce qu'il fait". Date de création 05/01/2006 2214 Dernière modification 23/12/2010 1409 Catégorie Page lue 9931 fois Imprimer l'article

Laphilosophie maçonnique considère en effet que refuser la mort (ne pas y penser ou la fuir), c’est, d’une certaine façon, refuser aussi la vie. « C’est parfois la peur de la mort qui pousse les hommes à la mort » disait Epicure. Épictète (50-125 ou 130) estimait que ce sont nos craintes et nos peurs qui rendent la mort terrifiante.

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42 la réponse à presque tout - Saison 1 - Et si la poussière n'existait pas ? : découvrez l'épisode de la saison 1 de 42, la réponse à presque tout
Jusqu'à un passé récent, le cimetière au était réuni l'ensemble d'une famille était le lieu de destination évident de son propre corps après sa propre mort. Aujourd'hui, cela ne va plus de soi... AFP/ANDRE DURAND Le tabou de la mort est un fait contemporain. Parmi les questions qu'il soulève et auxquelles il semble de plus en plus difficile de répondre "Où vais-je me faire enterrer? Où enterrer mon père, ma mère?" La réponse allait encore de soi dans un passé récent, plus aujourd'hui... Pour quelle raison? Le rattachement à une territorialité n'est plus une évidence, en effet, et la mort n'y échappe pas. Jusqu'à un passé récent, disons avant la deuxième guerre mondiale, le cimetière où était réuni l'ensemble d'une famille était forcément le lieu de destination de son propre corps après sa propre mort. On n'avait même pas à y penser. Il était au bout du village, c'est là qu'on serait un jour. Tout ceci n'est plus une évidence. Ce phénomène tient à plusieurs raisons qui se conjuguent l'urbanisation - nous sommes passés de la société du village à celle de l'agglomération urbaine ; l'éclatement des familles ; le fait que la profession exercée ne se fait plus dans le périmètre du lieu de naissance, les déplacements devenant la règle. Un jour, vous êtes muté à Tokyo, le lendemain à Metz... Tout devient plus compliqué. Voilà pour les aspects socio-démographiques, les transformations objectives des modes de vie. Au-delà, qu'est-ce que cela traduit de notre rapport à la mort?Notre société, c'est une banalité de le dire, ne se penche plus beaucoup sur la mort. Plus tard on y pense, mieux c'est. L'essor de la crémation tient aussi à cela, d'ailleurs, entre autres raisons. On n'est plus attaché à un territoire, donc cela fait moins de sens d'être enterré à tel ou tel endroit. Le lieu d'inhumation a moins de signification que par le passé. Jusqu'à ce qu'on interdise, il y a quelques années, la possibilité de conserver l'urne chez soi, on pouvait de la sorte disposer de ses cendres comme on le voulait, ce qui rendait la mort comme hors lieu, hors du cimetière, lequel est aussi un espace collectif. On pouvait se dire "Le lieu des morts n'est pas celui de mon mort". Symptomatique d'un certain désarroi social. Ramener le mort chez soi, c'est aller contre la règle fondamentale de la ritualité funéraire, qui veut qu'on se sépare des morts. Ce détachement de la territorialité est récent, dites-vous. Oui, un saut a été franchi récemment, même s'il se préparait sans doute de longue date, et on peut le voir, là encore, à travers la crémation. L'Eglise catholique a levé l'interdiction de la crémation après la deuxième guerre mondiale, relativement récemment, donc. Dans les années 1970, personne n'aurait alors imaginé qu'elle progresserait comme elle l'a fait à partir des années 1990. Aujourd'hui, un peu plus d'un Français sur deux l'envisage. Dans les années 1970 et 1980, la crémation relevait d'une certaine vision du monde, d'une posture militante. A présent, elle n'apparaît plus comme un choix différencié mais comme un option qui découle aussi de ce détachement du territoire et de cette logique d'urbanisation qui caractérise notre culture globale. On trouve des maisons funéraires même hors des grandes villes, même à Sainte-Foy-la-Grande ! On peut se dire que c'était rassurant, en quelque sorte, de savoir que l'on reposerait à tel endroit un jour... Qu'engendre cette incertitude nouvelle?Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement La ritualité funéraire n'est pas seulement une coutume, elle agit aussi sur l'équilibre socio-psychique des personnes. Elle s'inscrit dans notre mémoire collective. Ces changements nous questionnement évidemment très profondément par rapport à notre propre finitude, nos relations avec nos proches... Comment pourra-t-on étayer un souvenir s'il n'est plus rattaché à un lieu, transmettre une mémoire familiale? Autant de questions qui se posent. Nous faisons comme si tout ceci tout était indifférent, mais ce n'est pas vrai. Nous ne sommes pas indifférents à notre propre devenir. Nous avons besoin de nous représenter cet irreprésentable et nous ne pouvons pas faire n'importe quoi de notre propre corps, dans l'indifférence de la souffrance de nos proches. Une évolution notable, par ailleurs des entreprises funéraires proposent de plus en plus, sur leur site Internet, d'aller se recueillir virtuellement, en photo, sur la tombe d'un proche, d'aller visiter le cimetière, de payer des fleurs qui y seront déposées... On met au point des services censés combler la distance physique "Je suis à Bordeaux, mon père est enterré à Strasbourg..." La ritualité funéraire serait donc moins importante, aux yeux des Français?Pas du tout, et c'est aussi toute la question. La Toussaint, on le voit bien, reste un jour très important c'est l'un des jours où il y a le plus de circulation en France, ce qui veut dire que les gens se déplacent. C'est aussi l'un des jours où l'on achète le plus de fleurs. Ce n'est donc pas du tout indifférent. Le fait de ne plus savoir où l'on va être enterré est plus marqué à la ville qu'à la entendu. Dans les villages, on est encore enterré de génération en génération et on y trouve encore une présence des signes sociaux de la mort, une sonorité le clocher du village, le glas..., qu'on n'a plus en ville, où la mort n'est plus perceptible. Voyez le corbillard et l'écart de culture entre ce qu'on peut en voir aujourd'hui et ce qui en est montré, par exemple, dans Le Corbeau, le film de Clouzot, qui ne date pas non plus du Moyen Age ! Tout le village qui processionne derrière le corbillard tiré par des chevaux... Dans mon enfance, le corbillard était un véhicule noir qui roulait lentement en bordure du trottoir, n'occupait pas le centre de la chaussée. Aujourd'hui, il se mêle à la circulation, comme les autres véhicules. La mort était inscrite dans le paysage, dans l'espace partagé, elle ne l'est plus. Conséquence de son refoulement?Oui, ou de son déni. Le grand anthropologue Louis-Vincent Thomas parlait, lui, de "déni de la mort", expression qui ne signifiait pas seulement le refus ou la peur de la mort mais le fait de faire comme si elle n'existait pas, n'avait aucune importance. Attitude encore plus étrange que la simple peur ou le refus, et qui nous est contemporaine, car elle n'a jamais existé auparavant, à aucun moment de l'Histoire. Or notre rapport à la vie est en rapport à la mort. Quand les choses ne sont plus parlées, plus signifiées, quand tout a l'air flottant, incertain, on perd des repères essentiels. On peut aussi s'interroger, en matière de refoulement, sur la généralisation des cimetières périurbains, crées dans les années 1980, qui sont souvent des lieux isolés, à l'écart de la ville, et esthétiquement, situés dans des zones de relégation, entre le centre commercial et la déchetterie. Vous avez des panneaux où celle-ci côtoie le crématorium, vous devez passer, pour y accéder, par une montagne de pneus crevés ! Ce qui peut pousser à s'interroger sur la façon dont les vivants traitent les morts. Pourquoi un tel manque de soin? Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? éditions Châtelet-Voltaire, 2013 Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? éditions Châtelet-Voltaire, 2013 Delphine Saubaber Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher
Avoirde la tolerance envers ceux qui en on une ou pas est la base d'une société ou les humains peuvent vivre en harmonie. Dans ce developement, nous partirons du principe que l'hypothése "Dieu n'existe pas" est validée et ainsi nous questionner sur le sujet suivant : Si Dieu n'existe pas, tout est-il permis ? En philosophie, la
Et si la mort n'existait pas ? Les éclairages de Jean-Pierre Petit dans "Métaphysicon" Y a-t-il une vie après la mort ? Le livre de Jean-Pierre Petit tente de répondre à LA question existentielle la plus répandue. Et si cela a été prouvé scientifiquement, l'expert en cosmologie nous dévoile les secrets d'un espace-temps sous forme de couloir Petit, connu pour avoir révolutionné la perception de l'univers avec son Modèle Cosmologique Janus , a publié en 2020 Métaphysicon, un ouvrage où il développe l'idée de l'existence dans un espace-temps sous forme de couloir qui relirait plusieurs univers, dont celui de la physique et de la Sous forme de questions / réponses, Jean-Claude Bourret interroge Jean-Pierre Petit sur son modèle innovant de "couloir", reliant le monde physique et métaphysique. Ce qu'il en ressort et qui est tout à fait saisissant, c'est que notre âme survivrait après notre mort. Certes, rien d'étonnant pour les croyants de plusieurs religions, mais tout à fait incroyable voire impossible pour les autres. En réalité, il n'y aurait pas de coupures entre la vie et la mort, il s'agirait simplement d'un autre espace-temps où notre âme Jean-Pierre Petit est un ingénieur, astrophysicien et scientifique français. Ses recherches portent notamment sur la cosmologie, la physique théorique et le mélange des fluides Sa chaîne YouTube Jean-Pierre PETIT ; Son site web Jean-Pierre Petit ©©DR Métaphysicon, Jean-Pierre Petit et Jean-Claude Bourret, éditions Trédaniel, 2020
Etsi la mort n’existait pas. Où en est la science sur la vie après la mort ? Réalisation : Valérie Seguin et Dominic Bachy . Publicité. Présentation : Aurélie Godefroy – Narration : François-Eric Gendron. Ce film présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort (EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des
ImageLeaving the Garden of Eden Adam et Ève furent les premiers à venir sur terre Quelles preuves nous permettent de savoir qu’Adam et Ève étaient des esprits vaillants ? Dieu prépara la terre pour en faire le foyer de ses enfants. Adam et Ève furent choisis pour être les premiers humains à vivre sur la terre voir Moïse 134 ; 426. Leur rôle dans le plan de notre Père était d’introduire la condition mortelle dans le monde. Ils allaient être les premiers parents. Voir D&A 10754-56. Adam et Ève faisaient partie des enfants les plus nobles de notre Père céleste. Dans le monde des esprits, Adam s’appelait l’archange Michel voir D&A 2711 ; Jude 19. Il fut choisi par notre Père céleste pour mener les justes dans la bataille contre Satan voir Apocalypse 127-9. Adam et Ève furent préordonnés pour devenir nos premiers parents. Le Seigneur promit à Adam de grandes bénédictions Je t’ai placé à la tête ; une multitude de nations sortiront de toi, et tu es leur prince à jamais » D&A 10755. Ève était la mère de tous les vivants » voir Moïse 426. Dieu unit Adam et Ève par le mariage car il n’était pas bon que l’homme soit seul » Moïse 318 ; voir aussi 1 Corinthiens 1111. Elle partagea la responsabilité d’Adam et elle partagera également ses bénédictions éternelles. Que pouvons-nous apprendre de l’exemple d’Adam et d’Ève ? Le jardin d’Éden Dans quel état Adam et Ève vivaient-ils dans le jardin d’Éden ? Quand ils furent mis dans le jardin d’Éden, Adam et Ève n’étaient pas encore mortels. Dans cet état, ils ne pouvaient pas avoir d’enfants voir 2 Néphi 223. La mort n’existait pas. Ils vivaient physiquement car leur esprit était placé dans un corps physique fait de poussière de la terre voir Moïse 659 ; Abraham 57. Ils vivaient spirituellement car ils étaient en la présence de Dieu. Ils n’avaient pas encore choisi entre le bien et le mal. Dieu leur commanda d’avoir des enfants. Il dit Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre et l’assujettissez ; et dominez sur… tout animal qui se meut sur la terre » Moïse 228. Il leur dit qu’ils pouvaient manger à discrétion du fruit de tous les arbres du jardin, à l’exception de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Il dit à propos de cet arbre Le jour où tu en mangeras, tu mourras » Moïse 317. Satan, qui ne connaissait pas les desseins de Dieu mais qui cherchait à détruire son plan, alla voir Ève dans le jardin d’Éden. Il la tenta de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Il lui assura qu’Adam et elle ne mourraient pas mais qu’ils seraient comme des dieux, connaissant le bien et le mal » Moïse 411. Elle céda à la tentation et mangea le fruit. Quand Adam apprit ce qui s’était passé, il décida de manger aussi du fruit. Les changements qui se produisirent chez Adam et Ève parce qu’ils avaient mangé ce fruit s’appellent la Chute. La séparation d’Adam et Ève de Dieu Quels changements physiques et spirituels se produisirent chez Adam et Ève en conséquence de leur transgression ? Comme Adam et Ève avaient mangé du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, le Seigneur les envoya hors du jardin d’Éden, dans le monde. Leur condition physique changea parce qu’ils avaient mangé du fruit défendu. Comme Dieu l’avait promis, ils devinrent mortels. Leurs enfants et eux étaient maintenant sujets à la maladie, à la souffrance et à la mort physique. En raison de leur transgression, Adam et Ève subirent également la mort spirituelle. Cela signifiait que leurs enfants et eux ne pouvaient marcher avec Dieu et lui parler face à face. Adam et Ève et leurs enfants étaient séparés de Dieu, physiquement et spirituellement. De grandes bénédictions résultèrent de la transgression. Quelles possibilités de devenir semblables à notre Père céleste la chute nous offre-t-elle ? Certains croient qu’Adam et Ève ont commis un grave péché en mangeant du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Néanmoins, les Écritures des derniers jours nous font comprendre que leur chute était une étape nécessaire du plan de la vie et une grande bénédiction pour nous tous. Du fait de la chute, nous avons reçu un corps physique, le droit de choisir entre le bien et le mal et la possibilité d’obtenir la vie éternelle. Aucune de ces bénédictions n’aurait été nôtre si Adam et Ève étaient demeurés dans le jardin. Ève a dit, après la Chute Sans notre transgression, nous n’aurions jamais eu de postérité et nous n’aurions jamais connu le bien et le mal, la joie de notre rédemption et la vie éternelle que Dieu donne à tous ceux qui obéissent » Moïse 511. Le prophète Léhi a expliqué Et maintenant, voici, si Adam n’avait pas transgressé, il ne serait pas tombé [il n’aurait pas été retranché de la présence de Dieu], mais il serait resté dans le jardin d’Éden. Et toutes les choses qui avaient été créées auraient dû rester exactement dans l’état dans lequel elles étaient après avoir été créées… Ils n’auraient pas eu d’enfants ; c’est pourquoi, ils seraient restés dans un état d’innocence, n’ayant aucune joie, car ils ne connaissaient aucune misère, ne faisant aucun bien, car ils ne connaissaient aucun péché. Mais voici, tout a été fait dans la sagesse de celui qui sait tout. Adam tomba pour que les hommes fussent, et les hommes sont pour avoir la joie » 2 Néphi 222-25. À votre avis, pourquoi est-il important de comprendre la chute et son influence sur nous ? Écritures supplémentaires 1 Néphi 511 ; 2 Néphi 220 Adam et Ève, premiers parents, famille 2 Néphi 214–21 l’opposition et la chute, la vie est une mise à l’épreuve 2 Néphi 222–26 la chute fait partie du plan du salut .
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