Le fichier avec la fiche récapitulative des titres et les fiches de rallye. L a fiche récapitulative sera collée au format A5 dans le cahier d'ateliers de lecture. L es fiches Pitikok et autres poules ne sont pas numérotées, ainsi vous pourrez constituer votre rallyes selon vos titres. Les fiches ne sont plus numérotées, vous pourrez ainsi composer à votre aise, vos propres rallyes. RésuméSézame, ouvre-toi !» Grùce à cette formule magique, Ali Baba découvre un fabuleux trésor caché au fond d'une grotte de la voilà riche, lui, le pauvre bûcheron ! Mais les quarante voleurs qui possÚdent ce butin ont bien l'intention de récupérer leur bien... Morgiane, la fidÚle servante d'Ali Baba, parviendra-t-elle à déjouer le piÚge qu'ils vont tendre à son maßtre ?L'un des plus célÚbres contes des Mille et Une Nuits» . Questionnaireen quinze questions sur une courte nouvelle fantastique parue aux éditions Mille et une nuits. Pas de corrigé. > Comment vivre sept vies sans avoir mal aux pieds, de E. Brisou-Pellen Document envoyé le 11-01-2003 par Françoise Chazelle Questionnaire de lecture et corrigé pour classe de sixiÚme et cinquiÚme.
PubliĂ© le 30 juillet 2019 par Emma Moreau. Mis Ă  jour le 7 dĂ©cembre 2020. En tant qu’étudiant, vous ĂȘtes amenĂ© Ă  faire un nombre incalculable de fiches de lecture tout au long de votre scolaritĂ©. Ces fiches vous permettent de mieux vous approprier les diffĂ©rentes notions importantes de vos diffĂ©rents cours et lectures, notamment pour les partiels ! Ces notes pourront vous servir tout au long de votre scolaritĂ©, il faut donc redoubler de vigilance lors de la rĂ©daction de vos fiches de lecture. Nous allons ici vous montrer comment rĂ©aliser une fiche de lecture claire et qui vous servira tout au long de votre scolaritĂ© en seulement 5 Ă©tapes. Table des matiĂšresQu’est-ce qu’une fiche de lecture ?RĂ©aliser sa fiche de lecture le travail prĂ©liminaireLa rĂ©daction de la fiche de lecture en 5 Ă©tapesExemple complet de fiche de lecture Qu’est-ce qu’une fiche de lecture ? Par dĂ©finition, une fiche de lecture
 
va vous servir de compte-rendu pour rĂ©sumer une de vos lectures. Elle va vous permettre de rĂ©sumer de maniĂšre courte et visuelle l’ensemble des thĂšmes abordĂ©s ainsi que de rĂ©diger une courte analyse de l’oeuvre. Les fiches de lecture sont particuliĂšrement efficaces lorsque vous avez besoin de garder le plus d’informations possibles en vue d’un examen. RĂ©aliser sa fiche de lecture le travail prĂ©liminaire Le travail prĂ©liminaire La premiĂšre Ă©tape est de vous intĂ©resser au livre et Ă  toutes ses informations pĂ©riphĂ©riques. Regardez qui est l’auteur, quel est le titre du livre. Lisez Ă©galement la quatriĂšme de couverture pour vous rendre compte rapidement de quoi traite l’auteur dans son ouvrage. Il est aussi important de traiter l’ouvrage par chapitre dans la fiche de lecture, structurez les points importants dans leurs chapitres respectifs. Remarque Gardez toujours Ă  l’esprit que le but de cette lecture est la crĂ©ation de cette fiche de lecture. Est-ce que vous faites cette fiche pour un examen Ă©crit ou oral ? Pour un travail de recherche ? Ce travail prĂ©liminaire va vous permettre d’orienter votre lecture afin de pouvoir mieux cibler ce qu’il y aura Ă  repĂ©rer dans la lecture Ă  venir. Vous aurez alors une premiĂšre idĂ©e de la structure du livre ou document. La lecture de l’ouvrage Lors de la lecture, vous voulez absolument Ă©viter de perdre du temps comme revenir plus tard sur des passages que vous avez lus trop vite. Soyez alors trĂšs concentrĂ© lors de la lecture, adoptez une lecture active prenez une feuille et un stylo pour noter l’ensemble des informations importantes que vous trouvez. DĂšs le dĂ©but de la lecture, prenez des notes sur les thĂšmes importants, les idĂ©es clĂ©s que vous retrouvez dans le texte. Notez le numĂ©ro des pages Ă  la suite des ces idĂ©es pour pouvoir y revenir plus rapidement plus tard si besoin. Astuce N’hĂ©sitez pas Ă  noter Ă©galement des citations qui vous semblent importantes, ainsi que toutes les rĂ©flexions et axes d’analyse que vous pourriez avoir durant la lecture. Cela vous fera gagner du temps par la suite ! Combien de fautes dans votre document ? Nos correcteurs corrigent en moyenne 150 fautes pour 1 000 mots. Vous vous demandez ce qui sera corrigĂ© exactement ? DĂ©placez le curseur de gauche Ă  droite ! Faites corriger votre document La rĂ©daction de la fiche de lecture en 5 Ă©tapes Votre fiche de lecture se divisera en deux parties une partie factuelle sur l’ouvrage, et une partie plus axĂ©e sur une brĂšve analyse. La partie factuelle Commencer par Ă©crire une brĂšve bibliographie sur l’auteur en faisant attention de bien ajouter toutes les informations qui pourraient ĂȘtre pertinentes en lien avec l’ouvrage. Faire un petit rĂ©sumĂ© de l’oeuvre en mentionnant notamment ses thĂšmes principaux. Faire un rĂ©sumĂ© plus dĂ©taillĂ© des thĂšmes que l’auteur traite dans son ouvrage. Vous pouvez y noter les idĂ©es principales, les principaux arguments et les informations principales prĂ©sentes dans l’ouvrage par chapitre. N’oubliez pas que vous pouvez ajouter ici des citations qui vous semblent importantes tout en mentionnant leur numĂ©ro de page. La partie analyse RĂ©diger l’ensemble des commentaires qui vous viennent Ă  l’esprit suite Ă  la lecture de l’ouvrage. Vous pouvez ici analyser les personnages, les diffĂ©rentes parties et la structure de l’ouvrage. Enfin, vient la partie rĂ©flexion. Cette partie va vous permettre de noter l’ensemble de vos idĂ©es personnelles sur l’ouvrage, les axes de rĂ©flexion auxquels vous pensez et qui pourront vous aider Ă  dĂ©velopper une analyse plus poussĂ©e lors d’un examen oĂč d’un compte rendu de recherche. Vous pouvez y ajouter les questions qui pourraient tomber lors de votre examen. Exemple complet de fiche de lecture Voici un exemple complet de fiche de lecture sur l’ouvrage de Jean Antoine Nollet, Programme, Ou IdĂ©e GĂ©nĂ©rale d’Un Cours de Physique ExpĂ©rimentale, Avec Un Catalogue RaisonnĂ© Des Instruments Qui Servent Aux ExpĂ©riences 1738. TĂ©lĂ©charger l’exemple de fiche de lecture. Cet article est-il utile ? Vous avez dĂ©jĂ  votĂ©. Merci - Votre vote est enregistrĂ© - Traitement de votre vote...
LesMille et Une Nuits sont un ensemble compliquĂ© de contes imbriquĂ©s les uns dans les autres. Les personnages sont nombreux, et il y a des contes Ă  l'intĂ©rieur des contes. Souvent, un personnage Ă  l'intĂ©rieur d'un conte raconte lui-mĂȘme une histoire Ă  un autre personnage. Ce systĂšme de miroirs donne plusieurs niveaux de lecture.

Slt ! Alors c'est vrai qu'il n'est pas trĂšs Ă©vident Ă  trouver ce livre , j'ai quand-mĂȘme trouvĂ© le rĂ©sumĂ© que voici Il Ă©tait une fois la fille du grand vizir, SchĂ©hĂ©razade, qui toutes les nuits racontait au prince une nouvelle histoire pour garder la vie sauve. Ainsi, naquirent Ali Baba et les quarante voleurs, La fĂ©e Banou ou Le petit bossu... Ces dix contes, aussi merveilleux que cĂ©lĂšbres, nous plongent au coeur de l'univers féérique des Mille et Une je te donne un lien que j'ai trouvĂ© oĂč des jeunes de 6° comme toi parle sur ce livre et sur les contes qu'il y a dedans , le voici sur internet , je n'ai pas rĂ©ussi Ă  le trouver en entier , ce que tu peux faire aussi c'est de regarder c'est quoi comme contes exactement qu'il y a dans le livre tu sais qu'il y en a dix , comme par exemple il y a les quarante voleurs et tu regarde le rĂ©sumĂ© et les commantaires de chaques contes individuellement , ça par contre tu peux facilement le trouver sur wikipĂ©dia ; Bon courage !

Grùceà sa ruse et à sa _____ il sortira à chaque fois_____ de ses aventures et toujours plus _____ . 3. Cite les différentes étapes de la structure du conte. ( /5) Evaluation de littérature : Sindbad le marin ( /20) Compétences : Répondre à une question par une phrase complÚte. 1. Réponds aux questions suivantes par une phrase. ( /5)
FABLE. L’ÂNE, LE BƒUF ET LE LABOUREUR. UN marchand trĂšs-riche avoit plusieurs maisons Ă  la campagne, oĂč il faisoit nourrir une grande quantitĂ© de toute sorte de bĂ©tail. Il se retira avec sa femme et ses enfans Ă  une de ses terres pour la faire valoir par lui-mĂȘme. Il avoit le don d’entendre le langage des bĂȘtes ; mais avec cette condition, qu’il ne pouvoit l’interprĂ©ter Ă  personne, sans s’exposer Ă  perdre la vie ; ce qui l’empĂȘchoit de communiquer les choses qu’il avoit apprises par le moyen de ce don. » Il y avoit Ă  une mĂȘme auge un bƓuf et un Ăąne. Un jour qu’il Ă©toit assis prĂšs d’eux, et qu’il se divertissoit Ă  voir jouer devant lui ses enfans, il entendit que le bƓuf disoit Ă  l’ñne L’ÉveillĂ©, que je te trouve heureux, quand je considĂšre le repos dont tu jouis, et le peu de travail qu’on exige de toi ! Un homme te panse avec soin, te lave, te donne de l’orge bien criblĂ©, et de l’eau fraĂźche et nette. Ta plus grande peine est de porter le marchand notre maĂźtre, lorsqu’il a quelque petit voyage Ă  faire. Sans cela, toute ta vie se passeroit dans l’oisivetĂ©. La maniĂšre dont on me traite est bien diffĂ©rente, et ma condition est aussi malheureuse que la tienne est agrĂ©able. Il est Ă  peine minuit qu’on m’attache Ă  une charrue que l’on me fait traĂźner tout le long du jour en fendant la terre ; ce qui me fatigue Ă  un point, que les forces me manquent quelquefois. D’ailleurs, le laboureur, qui est toujours derriĂšre moi, ne cesse de me frapper. À force de tirer la charrue, j’ai le cou tout Ă©corchĂ©. Enfin, aprĂšs avoir travaillĂ© depuis le matin jusqu’au soir, quand je suis de retour, on me donne Ă  manger de mĂ©chantes fĂšves sĂšches, dont on ne s’est pas mis en peine d’îter la terre, ou d’autres choses qui ne valent pas mieux. Pour comble de misĂšre, lorsque je me suis repu d’un mets si peu appĂ©tissant, je suis obligĂ© de passer la nuit couchĂ© dans mon ordure. Tu vois donc que j’ai raison d’envier ton sort. » » L’ñne n’interrompit pas le bƓuf ; il lui laissa dire tout ce qu’il voulut ; mais quand il eut achevĂ© de parler Vous ne dĂ©mentez pas, lui dit-il, le nom d’idiot qu’on vous a donnĂ© ; vous ĂȘtes trop simple, vous vous laissez mener comme l’on veut, et vous ne pouvez prendre une bonne rĂ©solution. Cependant quel avantage vous revient-il de toutes les indignitĂ©s que vous souffrez ? Vous vous tuez vous-mĂȘme pour le repos, le plaisir et le profit de ceux qui ne vous en savent point de grĂ©. On ne vous traiteroit pas de la sorte, si vous aviez autant de courage que de force. Lorsqu’on vient vous attacher Ă  l’auge, que ne faites-vous rĂ©sistance ? Que ne donnez-vous de bons coups de cornes ? Que ne marquez-vous votre colĂšre en frappant du pied contre terre ? Pourquoi enfin n’inspirez-vous pas la terreur par des beuglemens effroyables ? La nature vous a donnĂ© les moyens de vous faire respecter, et vous ne vous en servez pas. On vous apporte de mauvaises fĂšves et de mauvaise paille, n’en mangez point ; flairez-les seulement et les laissez. Si vous suivez les conseils que je vous donne, vous verrez bientĂŽt un changement dont vous me remercierez. » » Le bƓuf prit en fort bonne part les avis de l’ñne, il lui tĂ©moigna combien il lui Ă©toit obligĂ©. Cher l’ÉveillĂ©, ajouta-t-il, je ne manquerai pas de faire tout ce que tu m’as dit, et tu verras de quelle maniĂšre je m’en acquitterai. » Ils se turent aprĂšs cet entretien, dont le marchand ne perdit pas une parole. » Le lendemain de bon matin, le laboureur vint prendre le bƓuf ; il l’attacha Ă  la charrue, et le mena au travail ordinaire. Le bƓuf, qui n’avoit pas oubliĂ© le conseil de l’ñne, fit fort le mĂ©chant ce jour-lĂ  ; et le soir, lorsque le laboureur l’ayant ramenĂ© Ă  l’auge, voulut l’attacher comme de coutume, le malicieux animal, au lieu de prĂ©senter ses cornes de lui-mĂȘme, se mit Ă  faire le rĂ©tif, et Ă  reculer en beuglant ; il baissa mĂȘme ses cornes, comme pour en frapper le laboureur. Il fit enfin tout le manĂ©ge que l’ñne lui avoit enseignĂ©. Le jour suivant, le laboureur vint le reprendre pour le remener au labourage ; mais trouvant l’auge encore remplie des fĂšves et de la paille qu’il y avoit mises le soir, et le bƓuf couchĂ© par terre, les pieds Ă©tendus, et haletant d’une Ă©trange façon, il le crut malade ; il en eut pitiĂ©, et jugeant qu’il seroit inutile de le mener au travail, il alla aussitĂŽt en avertir le marchand. » Le marchand vit bien que les mauvais conseils de l’EveillĂ© avoient Ă©tĂ© suivis ; et pour le punir comme il le mĂ©ritoit Va, dit-il au laboureur, prends l’ñne Ă  la place du bƓuf, et ne manque pas de lui donner bien de l’exercice. » Le laboureur obĂ©it. L’ñne fut obligĂ© de tirer la charrue tout ce jour-lĂ  ; ce qui le fatigua d’autant plus, qu’il Ă©toit moins accoutumĂ© Ă  ce travail. Outre cela, il reçut tant de coups de bĂąton, qu’il ne pouvoit se soutenir quand il fut de retour. » Cependant le bƓuf Ă©toit trĂšs-content il avoit mangĂ© tout ce qu’il y avoit dans son auge, et s’étoit reposĂ© toute la journĂ©e ; il se rĂ©jouissoit en lui-mĂȘme d’avoir suivi les conseils de l’EveillĂ© ; il lui donnoit mille bĂ©nĂ©dictions pour le bien qu’il lui avoit procurĂ©, et il ne manqua pas de lui en faire un nouveau compliment lorsqu’il le vit arriver. L’ñne ne rĂ©pondit rien au bƓuf, tant il avoit de dĂ©pit d’avoir Ă©tĂ© si maltraitĂ©. C’est par mon imprudence, se disoit-il Ă  lui-mĂȘme, que je me suis attirĂ© ce malheur ; je vivois heureux ; tout me rioit ; j’avois tout ce que je pouvois souhaiter ; c’est ma faute, si je suis dans ce dĂ©plorable Ă©tat ; et si je ne trouve quelque ruse en mon esprit pour m’en tirer, ma perte est certaine. » En disant cela, ses forces se trouvĂšrent tellement Ă©puisĂ©es, qu’il se laissa tomber Ă  demi mort au pied de son auge. » En cet endroit le grand-visir s’adressant Ă  Scheherazade, lui dit Ma fille, vous faites comme cet Ăąne, vous vous exposez Ă  vous perdre par votre fausse prudence. Croyez-moi, demeurez en repos, et ne cherchez point Ă  prĂ©venir votre mort. » Mon pĂšre, rĂ©pondit Scheherazade, l’exemple que vous venez de rapporter, n’est pas capable de me faire changer de rĂ©solution, et je ne cesserai point de vous importuner, que je n’aye obtenu de vous que vous me prĂ©senterez au sultan pour ĂȘtre son Ă©pouse. » Le visir, voyant qu’elle persistoit toujours dans sa demande, lui rĂ©pliqua HĂ© bien, puisque vous ne voulez pas quitter votre obstination, je serai obligĂ© de vous traiter de la mĂȘme maniĂšre que le marchand dont je viens de parler, traita sa femme peu de temps aprĂšs ; et voici comment » Ce marchand ayant appris que l’ñne Ă©toit dans un Ă©tat pitoyable, fut curieux de savoir ce qui se passeroit entre lui et le bƓuf. C’est pourquoi, aprĂšs le souper, il sortit au clair de la lune, et alla s’asseoir auprĂšs d’eux, accompagnĂ© de sa femme. En arrivant, il entendit l’ñne qui disoit au bƓuf CompĂšre, dites-moi, je vous prie, ce que vous prĂ©tendez faire quand le laboureur vous apportera demain Ă  manger ? » Ce que je ferai, rĂ©pondit le bƓuf, je continuerai de faire ce que tu m’as enseignĂ©. Je m’éloignerai d’abord ; je prĂ©senterai mes cornes comme hier ; je ferai le malade, et feindrai d’ĂȘtre aux abois. » Gardez-vous-en bien, interrompit l’ñne, ce seroit le moyen de vous perdre ; car en arrivant ce soir, j’ai ouĂŻ dire au marchand notre maĂźtre une chose qui m’a fait trembler pour vous. » HĂ© ! qu’avez-vous entendu, dit le bƓuf ? ne me cachez rien, de grĂące, mon cher l’ÉveillĂ©. » Notre maĂźtre, reprit l’ñne, a dit au laboureur ces tristes paroles Puisque le bƓuf ne mange pas, et qu’il ne peut se soutenir, je veux qu’il soit tuĂ© dĂšs demain. Nous ferons, pour l’amour de Dieu, une aumĂŽne de sa chair aux pauvres ; et quant Ă  sa peau qui pourra nous ĂȘtre utile, tu la donneras au corroyeur ; ne manque donc pas de faire venir le boucher. » VoilĂ  ce que j’avois Ă  vous apprendre, ajouta l’ñne ; l’intĂ©rĂȘt que je prends Ă  votre conservation, et l’amitiĂ© que j’ai pour vous, m’obligent Ă  vous en avertir et Ă  vous donner un nouveau conseil. D’abord qu’on vous apportera vos fĂšves et votre paille, levez-vous, et vous jetez dessus avec aviditĂ© ; le maĂźtre jugera par-lĂ  que vous ĂȘtes guĂ©ri, et rĂ©voquera, sans doute, l’arrĂȘt de mort au lieu que si vous en usez autrement, c’est fait de vous. » » Ce discours produisit l’effet qu’en avoit attendu l’ñne. Le bƓuf en fut Ă©trangement troublĂ© et en beugla d’effroi. Le marchand, qui les avoit Ă©coutĂ©s tous deux avec beaucoup d’attention, fit alors un si grand Ă©clat de rire, que sa femme en fut trĂšs-surprise. Apprenez-moi, lui dit-elle, pourquoi vous riez si fort, afin que j’en rie avec vous. » Ma femme, lui rĂ©pondit le marchand, contentez-vous de m’entendre rire. » Non, reprit-elle, j’en veux savoir le sujet. » Je ne puis vous donner cette satisfaction, repartit le mari ; sachez seulement que je ris de ce que notre Ăąne vient de dire Ă  notre bƓuf ; le reste est un secret qu’il ne m’est pas permis de vous rĂ©vĂ©ler. » Et qui vous empĂȘche de me dĂ©couvrir ce secret, rĂ©pliqua-t-elle ? » Si je vous le disois, rĂ©pondit-il, apprenez qu’il m’en coĂ»teroit la vie. » Vous vous moquez de moi, s’écria la femme ; ce que vous me dites, ne peut pas ĂȘtre vrai. Si vous ne m’avouez tout-Ă -l’heure pourquoi vous avez ri, si vous refusez de m’instruire de ce que l’ñne et le bƓuf ont dit, je jure par le grand Dieu qui est au ciel, que nous ne vivrons pas davantage ensemble. » » En achevant ces mots, elle rentra dans la maison, et se mit dans un coin oĂč elle passa la nuit Ă  pleurer de toute sa force. Le mari coucha seul ; et le lendemain, voyant qu’elle ne discontinuoit pas de lamenter Vous n’ĂȘtes pas sage, lui dit-il, de vous affliger de la sorte ; la chose n’en vaut pas la peine ; et il vous est aussi peu important de la savoir, qu’il m’importe beaucoup, Ă  moi, de la tenir secrĂšte. N’y pensez donc plus, je vous en conjure. » J’y pense si bien encore, rĂ©pondit la femme, que je ne cesserai pas de pleurer, que vous n’ayez satisfait ma curiositĂ©. » Mais je vous dis fort sĂ©rieusement, rĂ©pliqua-t-il, qu’il m’en coĂ»tera la vie, si je cĂšde Ă  vos indiscrĂštes instances. » Qu’il en arrive tout ce qu’il plaira Ă  Dieu, repartit-elle, je n’en dĂ©mordrai pas. » Je vois bien, reprit le marchand, qu’il n’y a pas moyen de vous faire entendre raison ; et comme je prĂ©vois que vous vous ferez mourir vous-mĂȘme par votre opiniĂątretĂ©, je vais appeler vos enfans, afin qu’ils aient la consolation de vous voir avant que vous mouriez. » Il fit venir ses enfans, et envoya chercher aussi le pĂšre, la mĂšre et les parens de la femme. Lorsqu’ils furent assemblĂ©s, et qu’il leur eut expliquĂ© de quoi il Ă©toit question, ils employĂšrent leur Ă©loquence Ă  faire comprendre Ă  la femme qu’elle avoit tort de ne vouloir pas revenir de son entĂȘtement ; mais elle les rebuta tous, et dit qu’elle mourroit plutĂŽt que de cĂ©der en cela Ă  son mari. Le pĂšre et la mĂšre eurent beau lui parler en particulier, et lui reprĂ©senter que la chose qu’elle souhaitoit d’apprendre, ne lui Ă©toit d’aucune importance, ils ne gagnĂšrent rien sur son esprit, ni par leur autoritĂ©, ni par leurs discours. Quand ses enfans virent qu’elle s’obstinoit Ă  rejeter toujours les bonnes raisons dont on combattoit son opiniĂątretĂ©, ils se mirent Ă  pleurer amĂšrement. Le marchand lui-mĂȘme ne savoit plus oĂč il en Ă©toit. Assis seul auprĂšs de la porte de sa maison, il dĂ©libĂ©roit dĂ©jĂ  s’il sacrifieroit sa vie pour sauver celle de sa femme qu’il aimoit beaucoup. » Or, ma fille, continua le visir en parlant toujours Ă  Scheherazade, ce marchand avoit cinquante poules et un coq avec un chien qui faisoit bonne garde. Pendant qu’il Ă©toit assis, comme je l’ai dit, et qu’il rĂȘvoit profondĂ©ment au parti qu’il devoit prendre, il vit le chien courir vers le coq qui s’étoit jetĂ© sur une poule, et il entendit qu’il lui parla dans ces termes Ô coq ! Dieu ne permettra pas que tu vives encore long-temps ! N’as-tu pas honte de faire aujourd’hui ce que tu fais ? » Le coq monta sur ses ergots, et se tournant du cĂŽtĂ© du chien Pourquoi, rĂ©pondit-il fiĂšrement, cela me seroit-il dĂ©fendu aujourd’hui plutĂŽt que les autres jours ? » Puisque tu l’ignores, rĂ©pliqua le chien, apprends que notre maĂźtre est aujourd’hui dans un grand deuil. Sa femme veut qu’il lui rĂ©vĂšle un secret qui est de telle nature, qu’il perdra la vie s’il le lui dĂ©couvre. Les choses sont en cet Ă©tat ; et il est Ă  craindre qu’il n’ait pas assez de fermetĂ© pour rĂ©sister Ă  l’obstination de sa femme ; car il l’aime, et il est touchĂ© des larmes qu’elle rĂ©pand sans cesse. Il va peut-ĂȘtre pĂ©rir ; nous en sommes tous alarmĂ©s dans ce logis. Toi seul, insultant Ă  notre tristesse, tu as l’imprudence de te divertir avec tes poules. » » Le coq repartit de cette sorte Ă  la rĂ©primande du chien Que notre maĂźtre est insensĂ© ! il n’a qu’une femme, et il n’en peut venir Ă  bout, pendant que j’en ai cinquante qui ne font que ce que je veux. Qu’il rappelle sa raison, il trouvera bientĂŽt moyen de sortir de l’embarras oĂč il est. » HĂ© que veux-tu qu’il fasse, dit le chien ? » Qu’il entre dans la chambre oĂč est sa femme, rĂ©pondit le coq ; et qu’aprĂšs s’ĂȘtre enfermĂ© avec elle, il prenne un bon bĂąton, et lui en donne mille coups ; je mets en fait qu’elle sera sage aprĂšs cela, et qu’elle ne le pressera plus de lui dire ce qu’il ne doit pas lui rĂ©vĂ©ler. » Le marchand n’eut pas sitĂŽt entendu ce que le coq venoit de dire, qu’il se leva de sa place, prit un gros bĂąton, alla trouver sa femme qui pleuroit encore, s’enferma avec elle, et la battit si bien, qu’elle ne put s’empĂȘcher de crier C’est assez, mon mari, c’est assez, laissez-moi ; je ne vous demanderai plus rien. » A ces paroles, et voyant qu’elle se repentoit d’avoir Ă©tĂ© curieuse si mal-Ă -propos, il cessa de la maltraiter ; il ouvrit la porte, toute la parentĂ© entra, se rĂ©jouit de trouver la femme revenue de son entĂȘtement, et fit compliment au mari sur l’heureux expĂ©dient dont il s’étoit servi pour la mettre Ă  la raison. Ma fille, ajouta le grand visir, vous mĂ©riteriez d’ĂȘtre traitĂ©e de la mĂȘme maniĂšre que la femme de ce marchand. » Mon pĂšre, dit alors Scheherazade, de grĂące, ne trouvez point mauvais que je persiste dans mes sentimens. L’histoire de cette femme ne sauroit m’ébranler. Je pourrois vous en raconter beaucoup d’autres qui vous persuaderoient que vous ne devez pas vous opposer Ă  mon dessein. D’ailleurs, pardonnez-moi si j’ose vous le dĂ©clarer, vous vous y opposeriez vainement quand la tendresse paternelle refuseroit de souscrire Ă  la priĂšre que je vous fais, j’irois me prĂ©senter moi-mĂȘme au sultan. » Enfin, le pĂšre, poussĂ© Ă  bout par la fermetĂ© de sa fille, se rendit Ă  ses importunitĂ©s ; et quoique fort affligĂ© de n’avoir pu la dĂ©tourner d’une si funeste rĂ©solution, il alla dĂšs ce moment trouver Schahriar, pour lui annoncer que la nuit prochaine il lui mĂšneroit Scheherazade. Le sultan fut fort Ă©tonnĂ© du sacrifice que son grand-visir lui faisoit. Comment avez-vous pu, lui dit-il, vous rĂ©soudre Ă  me livrer votre propre fille ? » Sire, lui rĂ©pondit le visir, elle s’est offerte d’elle-mĂȘme. La triste destinĂ©e qui l’attend, n’a pu l’épouvanter, et elle prĂ©fĂšre Ă  sa vie l’honneur d’ĂȘtre une seule nuit l’épouse de votre majestĂ©. » Mais ne vous trompez pas, visir, reprit le sultan demain, en vous remettant Scheherazade entre vos mains, je prĂ©tends que vous lui ĂŽtiez la vie. Si vous y manquez, je vous jure que je vous ferai mourir vous-mĂȘme. » Sire, repartit le visir, mon cƓur gĂ©mira, sans doute, en vous obĂ©issant ; mais la nature aura beau murmurer quoique pĂšre, je vous rĂ©ponds d’un bras fidĂšle. » Schahriar accepta l’offre de son ministre, et lui dit qu’il n’avoit qu’à lui amener sa fille quand il lui plairoit. Le grand-visir alla porter cette nouvelle Ă  Scheherazade, qui la reçut avec autant de joie que si elle eĂ»t Ă©tĂ© la plus agrĂ©able du monde. Elle remercia son pĂšre de l’avoir si sensiblement obligĂ©e ; et voyant qu’il Ă©toit accablĂ© de douleur, elle lui dit, pour le consoler, qu’elle espĂ©roit qu’il ne se repentiroit pas de l’avoir mariĂ©e avec le sultan, et qu’au contraire il auroit sujet de s’en rĂ©jouir le reste de sa vie. Elle ne songea plus qu’à se mettre en Ă©tat de paroĂźtre devant le sultan ; mais avant que de partir, elle prit sa sƓur Dinarzade en particulier, et lui dit Ma chĂšre sƓur, j’ai besoin de votre secours dans une affaire trĂšs-importante, je vous prie de ne me le pas refuser. Mon pĂšre va me conduire chez le sultan pour ĂȘtre son Ă©pouse. Que cette nouvelle ne vous Ă©pouvante pas ; Ă©coutez-moi seulement avec patience. DĂšs que je serai devant le sultan, je le supplierai de permettre que vous couchiez dans la chambre nuptiale, afin que je jouisse cette nuit encore de votre compagnie. Si j’obtiens cette grĂące, comme je l’espĂšre, souvenez-vous de m’éveiller demain matin une heure avant le jour et de m’adresser ces paroles Ma sƓur, si vous ne dormez pas, je vous supplie, en attendant le jour qui paroĂźtra bientĂŽt, de me raconter un de ces beaux contes que vous savez. » AussitĂŽt je vous en conterai un, et je me flatte de dĂ©livrer par ce moyen tout le peuple de la consternation oĂč il est. Dinarzade rĂ©pondit Ă  sa sƓur qu’elle feroit avec plaisir ce qu’elle exigeoit d’elle. L’heure de se coucher Ă©tant enfin venue, le grand-visir conduisit Scheherazade au palais, et se retira aprĂšs l’avoir introduite dans l’appartement du sultan. Ce prince ne se vit pas plutĂŽt avec elle, qu’il lui ordonna de se dĂ©couvrir le visage. Il la trouva si belle, qu’il en fut charmĂ© ; mais s’apercevant qu’elle Ă©toit en pleurs, il lui en demanda le sujet. Sire, rĂ©pondit Scheherazade, j’ai une sƓur que j’aime aussi tendrement que j’en suis aimĂ©e. Je souhaiterois qu’elle passĂąt la nuit dans cette chambre, pour la voir et lui dire adieu encore une fois. Voulez-vous bien que j’aie la consolation de lui donner ce dernier tĂ©moignage de mon amitiĂ© ? » Schahriar y ayant consenti, on alla chercher Dinarzade, qui vint en diligence. Le sultan se coucha avec Scheherazade sur une estrade fort Ă©levĂ©e Ă  la maniĂšre des monarques de l’Orient, et Dinarzade dans un lit qu’on lui avoit prĂ©parĂ© au bas de l’estrade. Une heure avant le jour, Dinarzade s’étant rĂ©veillĂ©e, ne manqua pas de faire ce que sa sƓur lui avoit recommandĂ©. Ma chĂšre sƓur, s’écria-t-elle, si vous ne dormez pas, je vous supplie, en attendant le jour qui paroĂźtra bientĂŽt, de me raconter un de ces contes agrĂ©ables que vous savez. HĂ©las ! ce sera peut-ĂȘtre la derniĂšre fois que j’aurai ce plaisir. » Scheherazade, au lieu de rĂ©pondre Ă  sa sƓur, s’adressa au sultan Sire, dit-elle, votre majestĂ© veut-elle bien me permettre de donner cette satisfaction Ă  ma sƓur ? » TrĂšs-volontiers, rĂ©pondit le sultan. » Alors Scheherazade dit Ă  sa sƓur d’écouter ; et puis adressant la parole Ă  Schahriar, elle commença de la sorte
1Quel lieu géographique n'est le lieu d'aucun des contes des mille et une nuits ? La ville de Bagdad L'Egypte La ville de Rome 2 Le calife Haroun-al-Raschid est présent dans plusieurs contes. Quelle est sa maniÚre de gouverner ? Il est généreux et récompense ceux qui le méritent Il est cruel et tyrannique
1/ Autour des Mille et une nuits Ressources sur le conte et sur Les Mille et une nuits sur le site de l’Institut du monde arabe IMA Retrouvez de nombreuses ressources sur la page de la mĂ©diathĂšque de l’IMA pour la jeunesse, notamment des informations sur L’Heure du conte ». L’IMA propose Ă©galement des expositions pĂ©dagogiques itinĂ©rantes dont l’exposition-atelier Contes des mille et une nuits » qui suit un parcours spĂ©cifique proposant Ă  chaque Ă©tape une immersion dans un conte issu du corpus des Mille et Une Nuits et qui s’achĂšve par des surprises olfactives. Un journal et un livret richement illustrĂ©s accompagnent les modules. L’exposition comprend 8 panneaux pĂ©dagogiques en français, arabe, anglais, 5 banniĂšres titres et 3 charriots thĂ©matiques de manipulations. Le site sur les Mille et une nuits de la BnF Ce site prĂ©sente ce texte universellement connu, et propose des pistes pour se familiariser avec lui et mĂȘme crĂ©er ses propres contes et ses illustrations en choisissant d’abord le décor, puis en positionnant les personnages, les animaux, les objets ou les plantes de son choix. Chaque élément est agrandi, réduit, retourné à volonté... La composition peut ensuite être enregistrée et imprimée. Le dossier est illustré par différents manuscrits et de nombreux documents autour du texte. Un album des illustrations par Léon Carré de l’édition des Mille et une Nuits parue en 12 volumes entre 1926 et 1932. Une large sélection parmi ces illustrations permet d’admirer en plein écran l’Ɠuvre de l’artiste, de zoomer sur les détails et, à travers les commentaires, d’aborder les thématiques principales des contes. Des documents complémentaires à explorer pour aller plus loin dans la découverte du texte ainsi que des livres interactifs Kalila et Dimna et Les Séances de al-Harîrî. Mais aussi des jeux et des ateliers pour les enfants Trois récits des Mille et Une Nuits » et une sélection de ressources sur Gallica comme la traduction par Antoine Galland au XVIIIe siècle, mais aussi les recueils de contes orientaux Mille et un... jours, La Mille et deuxième nuit.... Retrouvez Ă©galement d’autres ressources de la BnF sur les contes le site Il Ă©tait une fois
 les contes de fĂ©es Cette exposition virtuelle retrace l’histoire des contes en une centaine d’images et permet de voyager au pays des fĂ©es. Le dossier propose un approfondissement autour des trois thĂšmes suivants de l’oral Ă  l’écrit ; les ingrĂ©dients du conte ; le conte et ses variantes. Le Petit chaperon rouge et Cendrillon font l’objet de deux gros plans. Une abondante iconographie est rassemblĂ©e par illustrateurs et un module d’écriture de contes permet de rassembler les ingrĂ©dients d’un rĂ©cit. Des pistes pĂ©dagogiques permettent aux enseignants et aux Ă©lĂšves de travailler sur la structure du conte, ses ingrĂ©dients et ses variantes. une sĂ©lection d’activitĂ©s autour du conte sur le site de la BibliothĂšque numĂ©rique des enfants en entrant conte » dans le moteur de recherche interne. la BibliothĂšque idĂ©ale », du site du Centre national de littĂ©rature pour la jeunesse CNLJ La Joie par les livres » met en ligne un certain nombre de ressources sur la littĂ©rature pour enfants. Dans la rubrique BibliothĂšque idĂ©ale », il est possible de faire une recherche par genre et d’avoir une liste de la production Ă©ditoriale concernant les contes. 2001 nuits Un site pour imaginer, Ă©crire et illustrer la suite des Mille et une nuits, produit par le Centre de Promotion du Livre de Jeunesse CPLJ 93. Le site prĂ©sente succinctement les diffĂ©rents rĂ©cits de ShĂ©hĂ©razade, dans un graphisme qui s’inspire de la calligraphie arabe, ainsi qu’une bibliographie des diverses Ă©ditions des Mille et une Nuits et des Ă©ditions qui leur sont consacrĂ©es. La sĂ©lection sur Les Mille et une nuits de Ricochet Ricochet constitue une base de donnĂ©es sur l’univers du livre de jeunesse, son histoire et son actualitĂ©. Retrouvez sur le site une liste de livres autour des Mille et une nuits ainsi qu’une exposition. Retrouvez Ă©galement d’autres expositions ainsi qu’un large choix de contes, mais aussi de sĂ©lections sur et autour du conte dont des ouvrages de recherche sur les contes et deux sĂ©lections de sites sur le conte l’une concernant des ouvrages et l’autre des Ă©tudes La revue TDC sur Le conte » > n° 1045 du 1er decembre 2012 Ce numĂ©ro propose d’explorer le conte, un genre universel mais dĂ©clinĂ© sous d’innombrables formes - orale et Ă©crite, populaire et savante, adulte et enfantine, merveilleuse et fantastique... et de plonger dans le rĂ©cit des Mille et une nuits.. 2 / Autour des contes sites et pistes pĂ©dagogiques Ressources autour des contes sur le site TĂ©lĂ©maque du CRDP de CrĂ©teil Le site TĂ©lĂ©maque propose des actions et des rĂ©flexions dans le domaine de la littĂ©rature jeunesse. Retrouvez sur le site de nombreuses ressources sur les contes des pistes d’activitĂ©s autour des contes une animation pĂ©dagogique sur la LittĂ©rature de jeunesse Conte et mythologie » une bibliographie Il Ă©tait une histoire Contes et lĂ©gendes Le site Il Ă©tait une histoire » a Ă©tĂ© conçu et rĂ©alisĂ© par rue des Ă©coles en partenariat avec la MAIF. rue des Ă©coles » est un groupe d’édition parascolaire et jeunesse, spĂ©cialisĂ© dans la conception et la rĂ©alisation d’outils pĂ©dagogiques multi-supports fiches d’activitĂ©s, livres, cĂ©dĂ©roms et sites Internet. Le site a pour objectif la diffusion et la dĂ©mocratisation de l’accĂšs Ă  la lecture pour les enfants, notamment en donnant accĂšs Ă  une bibliothĂšque riche de plus d’une centaine de volumes. Le site est consultable gratuitement. L’accĂšs Ă  certaines parties du site nĂ©cessite une inscription prĂ©alable permettant l’obtention de codes d’accĂšs personnels. Conte-moi la francophonie Conte-moi » est un programme portĂ© par l’association Deci-dela et la sociĂ©tĂ© Tralalere qui a pour objectifs de sauvegarder et de diffuser les patrimoines oraux francophones. DĂ©tournements de contes ! Ce dossier publiĂ© sur le site de France TV Ă©ducation, raconte comment le conte traditionnel suscite des appropriations ludiques et parfois subversives de la part des auteurs, reposant sur de nouvelles formes d’écriture ou de réécriture. Site image un outil au service de la pĂ©dagogie du cinĂ©ma ConsacrĂ© Ă  l’éducation au cinĂ©ma, ce site propose des fiches descriptives pour les films exploitables au cinĂ©ma. Voici 17 fiches de films mettant en scĂšne des contes. Parmi les plus connus Les Aventures de Pinocchio, Le roi et l’oiseau, Azur et Asmar ou encore Peau d’ñne. La Maison du Conte La Maison du Conte est un centre de dĂ©veloppement du conte et des arts de la parole. C’est un lieu de transmission, de recherche, de crĂ©ation, d’accompagnement et de diffusion du conte. La Maison du Conte est fortement reliĂ©e au projet culturel et artistique de la ville de Chevilly-Larue. En partenariat avec la mĂ©diathĂšque Boris Vian de Chevilly-Larue, La Maison du Conte propose une sĂ©rie d’interventions pour valoriser le fonds conte. Créé en 2008 et inaugurĂ© en 2009 sous l’impulsion du Conseil GĂ©nĂ©ral, le 14Ăšme bibliothĂšme 94, fonds spĂ©cialisĂ© sur le conte, est composĂ© de livres, CD, DVD et CD-ROM consultables sur place Ă  La Maison du Conte 1000 exemplaires, Ă  la MĂ©diathĂšque 3000 exemplaires et Ă©galement sur le portail web de la MĂ©diathĂšque se reporter au catalogue. Retrouvez Ă©galement sur le site des informations pour faire venir un conteur dans la classe Les conteurs de Sèvres 92 Cette association est nĂ©e Ă  l’issue d’une formation Ă  l’Art du Conte proposĂ©e en 1994 par la MunicipalitĂ© de SĂšvres. Aujourd’hui, Les Conteurs de SĂšvres » rassemblent une cinquantaine d’adhĂ©rents et institutions diverses intĂ©ressĂ©s par l’art du conte. Cette association proposent des interventions dans les classes. Écouter, dire, lire, écrire des contes... Site du projet Écouter, dire, lire, écrire des contes... » proposé par le groupe départemental Maîtrise de la langue » avec le concours du CDDP des Deux-Sèvres. Ce site propose des bibliographies, des animations et pistes pédagogiques sur le thème du conte. L’exploitation des contes Ă  l’école Compte rendu du travail des enseignants de la circonscription de Saint Marcellin sur le thème du conte. Le dossier propose également de lire diffĂ©rentes versions traditionnelles et dĂ©tournĂ©es du Petit Chaperon Rouge Ă©crites par les enseignants prĂ©sents Ă  l’animation. La construction d’une première culture littéraire n°3 le conte et l’apprentissage de la langue Dossier d’animation pĂ©dagogique annĂ©e 2006-2007 de la circonscription d’Angers 6. Il propose des rĂ©flexions sur l’exploitation du conte en classe mais Ă©galement des exemples de parcours de contes traditionnels Ă  l’école maternelle et des pistes de travail proposĂ©es par des enseignants. Les contes et rĂ©cits au cycle 3 Retrouvez des fches de lecture et documents de travail sur le conte. Fiches pĂ©dagogiques pour apprendre Ă  conter Le groupe départemental Littérature de jeunesse » du Vaucluse propose des pistes pour apprendre aux enfants l’art de raconter des histoires. PrimTICE scĂ©narios sur le thĂšme des contes PrimTICE répertorie des scénarios pédagogiques intégrant les usages des TIC dans les domaines disciplinaires et transversaux de l’école primaire en relation avec le B2i. Il donne accès à de nombreux scénarios sur le thème des contes.
Lectureau Th. International de la langue française 2001/02 LES LETTRES PERSANES - Christiane MARCHEWSKA Sudden Th., Th. du Nord-Ouest 1999/2002 LES CONTES DES MILLE ET UNE NUITS - Jean Philippe DAGUERRE 1999 LES AMIS - Abel PERRODIN 1998 LA LOCANDIERA - Abel PERRODIN 1997 LA GUERRE DES MICHARDS - Hervé WALBECK
RĂ©sumĂ© de l'ouvrage RĂ©sumĂ© Vous n'avez peut-ĂȘtre entendu parler que confusĂ©ment de mes Ă©tranges aventures, et des dangers que j'ai courus sur mer dans les sept voyages que j'ai faits ; et puisque l'occasion s'en prĂ©sente, je vais vous en faire un rapport fidĂšle... » Ainsi parle Sindbad le marin, ainsi commence l'un des contes les plus cĂ©lĂšbres des Mille et Une Nuits.. . Fiches pedagogiques Fiche pĂ©dagogiqueIA VaucluseDescriptif physique, Axes de travail possibles, Mise en rĂ©seaux Fiche pĂ©dagogique6 sĂ©ances surSindbad Fiches pĂ©dagogiquesquestionnaire sur les 4 premiers voyages Fiche pĂ©dagogiquequestionnaire sur les voyages 5,6,7 Fiche pĂ©dagogiqueQuestionnaire de lecture sur les 7 voyagesn Fiche pĂ©dagogique10 fiches de questions de lecture Fiche pĂ©dagogiqueQCM sur Sindbadr Dossier pĂ©dagogiqueEvaluation Fiche pĂ©dagogique30 questions de lecture comprĂ©hension Retour Ă  la liste cycle 3
Voiciun rĂ©sumĂ© et une fiche de lecture pour le bac de français sur Zadig ou La DestinĂ©e de Voltaire. Zadig ou La DestinĂ©e est un conte philosophique de Voltaire paru en 1747. Au 18Ăšme siĂšcle, l’Orient est Ă  la mode : les contes des Mille et une nuits traduits par Galland connaissent un vif succĂšs, suivi par les Lettres persanes
Publisher Description Venez dĂ©couvrir Les Mille et Une Nuits, le plus cĂ©lĂšbre recueil de contes orientaux, grĂące Ă  une analyse littĂ©raire de par un spĂ©cialiste universitaire, cette fiche de lecture est recommandĂ©e par de nombreux ouvrage contient plusieurs parties la biographie de l'Ă©crivain, le rĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ©, le mouvement littĂ©raire, le contexte de publication du recueil et l'analyse tous nos titres sur GENRE Professional & Technical RELEASED 2020 27 March LANGUAGE FR French LENGTH 64 Pages PUBLISHER Comprendre la littĂ©rature SIZE KB More Books by Antoine Galland Quiz''Les Mille et Une Nuits'' : Aladdin, Sinbad et Ali Baba n'ont plus de secrets pour vous ? Alors testez vos connaissances sur ces contes immortels. - Q1: Ces histoires sont racontĂ©es par la femme du sultan prĂ©nommĂ©e ShĂ©hĂ©razade, Dinarzade, Jasmine, DĂ©but du rĂ©cit de Sindbad J’avais hĂ©ritĂ© de ma famille des biens considĂ©rables, j’en dissipai la meilleure partie dans les dĂ©bauches de ma jeunesse ; mais je revins de mon aveuglement, et rentrant en moi-mĂȘme, je reconnus que les richesses Ă©taient pĂ©rissables, et qu’on en voyait bientĂŽt la fin quand on les mĂ©nageait aussi mal que je faisais. Je pensai de plus que je consumais malheureusement dans une vie dĂ©rĂ©glĂ©e, le temps, qui est la chose du monde la plus prĂ©cieuse. Je considĂ©rai encore que c’était la derniĂšre et la plus dĂ©plorable de toutes les misĂšres, que d’ĂȘtre pauvre dans la vieillesse. Je me souvins de ces paroles du grand Salomon, que j’avais autrefois ouĂŻ dire Ă  mon pĂšre ‟Il est moins fĂącheux d’ĂȘtre dans le tombeau que dans la pauvretĂ©.” »ShĂ©hĂ©razade interrompt son histoire Ă  un moment crucial pour donner envie au sultan de connaĂźtre la suite et donc, pour qu’il ne l’exĂ©cute pas Mais dans le temps que nous nous divertissions Ă  boire et Ă  manger, et Ă  nous dĂ©lasser de la fatigue de la mer, l’üle trembla tout-Ă -coup, et nous donna une rude secousse
 À ces mots, ShĂ©hĂ©razade s’arrĂȘta, parce que le jour commençait Ă  paraĂźtre. Elle reprit ainsi son discours sur la fin de la nuit suivante. »Un Ă©pisode de merveilleux Il y a sous la domination du roi Mihrage, une Ăźle qui porte le nom de Cassel. On m’avait assurĂ© qu’on y entendait toutes les nuits un son de timbales ; ce qui a donnĂ© lieu Ă  l’opinion qu’ont les matelots, que Degial y fait sa demeure. Il me prit envie d’ĂȘtre tĂ©moin de cette merveille, et je vis dans mon voyage des poissons longs de cent et de deux cents coudĂ©es, qui font plus de peur que de mal. Ils sont si timides, qu’on les fait fuir en frappant sur des ais. Je remarquai d’autres poissons qui n’étaient que d’une coudĂ©e, et qui ressemblaient par la tĂȘte Ă  des hiboux. »Sindbad est avant tout un marchand Mais avant mon embarquement, j’échangeai les marchandises qui me restaient contre d’autres du pays. J’emportai avec moi du bois d’aloĂ«s, de santal, du camphre, de la muscade, du clou de girofle, du poivre, et du gingembre. Nous passĂąmes par plusieurs Ăźles, et nous abordĂąmes enfin Ă  Balsora, d’oĂč j’arrivai en cette ville avec la valeur d’environ cent mille sequins. »Le rĂ©cit de ShĂ©hĂ©razade se poursuit avec d’autres aventures de Sindbad, qu’elle continue de raconter Ă  travers lui Sindbad s’étant arrĂȘtĂ© en cet endroit, ordonna aux joueurs d’instruments de recommencer leurs concerts, qu’il avait interrompus par le rĂ©cit de son histoire. On continua jusqu’au soir de boire et de manger ; et lorsqu’il fut temps de se retirer, Sindbad se fit apporter une bourse de cent sequins, et la donnant au porteur ‟Prenez, Hindbad, lui dit-il, retournez chez vous, et revenez demain entendre la suite de mes aventures.” » Bienvenuedans ce dossier consacrĂ© aux Contes, composĂ© de 17 articles Universalis. De l’épopĂ©e antique Ă  la moderne fantasy, en passant par la chanson de geste et les multiples formes prises par le conte, ce dossier composĂ© de 18 articles Universalis, dit l’essentiel sur une famille de genres et d’Ɠuvres littĂ©raires qui font la Prix rĂ©duit ! Agrandir l'image Fiche technique Auteur Laporte, Michel Editeur FLAMMARION JEUNESSE Format Poche Nb de pages 182 Date de parution 21/08/2010 EAN 13 9782081242128 En savoir plus Il Ă©tait une fois la fille du grand vizir, SchĂ©hĂ©razade, qui toutes les nuits racontait au prince une nouvelle histoire pour garder la vie naquirent Ali Baba et les quarante voleurs, La fĂ©e Banou ou Le petit bossu... Ces dix contes, aussi merveilleux que cĂ©lĂšbres, nous plongent au coeur de l'univers féérique des Mille et Une Nuits. Avis Aucun commentaire n'a Ă©tĂ© publiĂ© pour le moment. .
  • btpi8q9wi0.pages.dev/21
  • btpi8q9wi0.pages.dev/403
  • btpi8q9wi0.pages.dev/206
  • btpi8q9wi0.pages.dev/137
  • btpi8q9wi0.pages.dev/386
  • btpi8q9wi0.pages.dev/149
  • btpi8q9wi0.pages.dev/282
  • btpi8q9wi0.pages.dev/354
  • 10 contes des mille et une nuits fiche de lecture