Création: 06/06/2012 à 14:15 Mise à jour : 20/08/2014 à 16:39 Retour au blog de Olivia-One-Direction-fic 1 article taggé mon coeur saigne à chaque paroles qui ne m'est pas destinée [Paroles de "Bonnie & Clyde"][Refrain]Baby, j'suis Aladin et les coquines aiment çaMais t'sais, jusqu'à la fin on est comme Bonnie & ClydeJ'sais qu'à tes yeux j'ai trop déconnéÀ m'comparer j'ai trop décôtéPardonne-moi pour mes réflexions d'écolierAu fond tu l'sais, avec toi j'voulais décoller[Couplet unique]Dans tes yeux j'ai vu mon avenirReste près d'moi, souviens-toi on était qu'unJe ne peux pas te voir partirJ'perds mon âme quand s'éloignent nos destinsJ'suis au Nord t'es au SudJe pense à toi dans l'métro et au stud'J'ai le mort, je m'excuseSi j't'ai fait mal, si j'te pleure dessusMon amour, mon amie, aussi ma confidenteTout près du tien, mon cœur est confinéSi je m'en vais vers un autre continentBébé souviens-toi de tout c'qu'on disaitJ'arrive j'arrive j'arrive, dis-moi qu'on va pas s'séparerBaby, baby, baby à cause de toi mon cœur est fanéTu sais bien que j'en ai gros sur l'cœurEt qu'pour moi tu as le plus beau corpsTe regarder, je pourrais le faire des heuresOublie pas qu'un jour je s'rai mortUn jour je s'rai mort, je pourrai plus te voirJe pourrai plus t'sentir, je pourrai juste t'aimerQuand chez toi il s'met à pleuvoirC'est moi qui pleure pour qu'tu viennes m'aiderJ'sais qu'y a l'paradis sous tes piedsQuand tu m'manques, envie d'tout laisserBabe, quand je chante pense à nous c't'étéC'est ton choix, j'veux personne pour t'aiderJe ne veux pas que tu partes que tu m'en veuillesSeul devant la feuille je perds le cap, ma belleQuand je suis à Paris, je me sens si seulTu sais très bien bébé que nous deux c'est pas pareilArrête ça tu m'fais trop souffrirJ'veux ta main et des beaux souriresRegarde devant on a d'autres soucisDemain s'ra un autre souvenirJ'ai pas fait c'qu'il fallait, fallaitTes embrouilles ont parlé, parléLà, mon cœur est cassé, casséLe passé j'aimerais l'effacer, 'ffacerSi tu savais tous les temps où j'ai pensé à toiJ'ai pensé pour nous l'amour pour la vieSi tu savais tous les temps où j'ai pensé à toiJ'ai pensé toujours tu s'rais mon babyIl a mal mal, ouais, le petit berbèreLoin de toi, de sa vie, donc son cœur saigneJ'en ai marre marre surtout c'est la merde merdeT'es ma femme mon amie ma deuxième mèreJ'ai besoin de quoi ? J'ai besoin de nousJ'ai besoin de foi ouais j'ai besoin d'amourJ'ai besoin de lois, j'ai besoin de valeursJ'ai besoin de toi, sans toi c'est le malheurJ'ai besoin de rire, j'ai besoin de vraiJ'ai besoin de souffrir à t'écouterJ'ai besoin de rire, j'ai besoin de mèreJ'ai besoin de mourir à tes côtés[Refrain]Baby, j'suis Aladin et les coquines aiment çaMais t'sais, jusqu'à la fin on est comme Bonnie & ClydeJ'sais qu'à tes yeux j'ai trop déconnéÀ m'comparer j'ai trop décôtéPardonne-moi pour mes réflexions d'écolierAu fond tu l'sais, avec toi j'voulais décoller Lespersonnages dans cette vidéo sur les personnages de la saison 3 de " je pensais" Traduction de la chanson Oh Baby par SISTAR Oh Baby traduction de Anglais vers Français {Oh Bébé} Yeah, c'est tellement dur, tellement douleur Mon coeur saigne, un amour à sens unique Pourquoi ne m'aimes-tu pas ? Je ne comprends pas pourquoi, pourquoi pourquoi Oh baby dis-moi, dis-moi maintenant que tu m'aimes I love you boy, ne lâche pas ma main Oh baby dis-moi, reste toujours à mes côtés I need you boy, à cause de toi je me sens mal Pourquoi diable ne me regardes-tu ? Ne suis-je pas assez bien pour être ta petite-amie ? Boy, je peux tout te donner, tu ne sais pas combien je t'aime, combien j'ai besoin de toi Ton amour est de ne jamais répondre à mes appels J'en ai assez, qu'est-ce qui ne va pas avec toi ? Mon coeur saigne, connais-tu ce tel sentiment que j'ai ? Pourquoi l'amour est-il si dur pour moi ? Je ne cesse d'espérer tes mots "Je veux te voir" J'essaye d'apaiser mon coeur solitaire, je regrette de t'avoir aimer Je ne cesse d'espérer tes mots "Je veux te voir" J'essaye d'apaiser mon coeur solitaire, ne peux-tu pas accepter mes sentiments ? Oh baby dis-moi, dis-moi maintenant que tu m'aimes I love you boy, ne lâche pas ma main Oh baby dis-moi, reste toujours à mes côtés I need you boy, à cause de toi je me sens mal Tu t'éloignes de ma vision sans comprendre mon coeur brûlant Pourquoi es-tu tellement indifférent ? Tu es si impitoyable Ne peux-tu pas une seule fois me regarder, boy ? Je n'arrive pas à dormir ce soir à trop penser à toi Je ne pense qu'à toi I love you be my boy Pourquoi simplement t'aime-je ? Je ne cesse d'espérer tes mots "Je veux te voir" J'essaye d'apaiser mon coeur solitaire, je regrette de t'avoir aimer Je ne cesse d'espérer tes mots "Je veux te voir" J'essaye d'apaiser mon coeur solitaire, ne peux-tu pas accepter mes sentiments ? Oh baby dis-moi, dis-moi maintenant que tu m'aimes I love you boy, ne lâche pas ma main Oh baby dis-moi, reste toujours à mes côtés I need you boy, à cause de toi je me sens mal Je veux que tu dises mon nom Crédits traduction traduction ajoutée par Elisabeth1999 Monpetit coeur de pierre C’est égréner à cause de toi Bientôt j’arriverai au cimetière Et tu cracheras sur ma tombe, tu vois. Tu m’as seulement fait mal Tu m’as pris comme un animal Tu as brisé mon petit coeur Celui qui était tant enjoleur. Je te déteste du plus profond de mon âme Mon coeur saigne et saignera toujours Tu me disais que tu me voulais comme femme Mais tu traduction en françaisfrançais/anglais A A A cause de toi Versions 12 Et voilà que mon cœur s’en va battant A cause de toi Je suis en train de perdre le sommeil Je t’en prie, reviens maintenantEt voilà que s’en va mon esprit en courrant, A cause de toi, Je suis encore en train de soupirer Je suis au désespoir maintenantJe vaincrais chaque montagne, Et traverserais chaque océan, Rien que pour être avec toi, Et pour ainsi réparer ce que j’ai brisé, Oh, parce que j'ai besoin de voir. Où seulement parce que j’ai besoin de toi pour voilà que mes mains tremblent A cause de toi Mon cœur continue à saigner, Et j’ai besoin de toi maintenant !Si je pouvais faire revenir en arrière l’horloge, Je ferais en sorte que la lumière gagne la nuit, Je passerais chaque heure de chaque jour, A te mettre à l’abri,Je vaincrais chaque montagne, Et traverserais chaque océan, Rien que pour être avec toi, Et pour ainsi réparer ce que j’ai brisé, Où seulement parce que j’ai besoin de toi pour voir. Que tu es la raison yeah, yeah...Je vaincrais chaque montagne, Et traverserais chaque océan, Rien que pour être avec toi, Et pour ainsi réparer ce que j’ai brisé, Où seulement parce que j’ai besoin de toi pour voir. Que tu en es la raison. Dernière modification par elfy2016 Dim, 07/10/2018 - 1227 L’auteure de cette traduction a demandé une relecture. Cela signifie qu’il ou elle sera ravie de recevoir des remarques, corrections, suggestions, etc. Si vous avez des notions dans ces deux langues, n’hésitez pas à ajouter un commentaire. Parolesde "Bonnie & Clyde" Aladin 135 Lyrics "Bonnie & Clyde" Baby, j'suis Aladin et les coquines aiment ça Mais t'sais, jusqu'à la fin on est comme Bonnie & Clyde J'sais qu'à tes yeux j'ai trop déconné À m'comparer j'ai trop décôté Pardonne-moi pour mes réflexions d'écolier Au fond tu l'sais, avec toi j'voulais décoller Dans tes yeux j'ai vu mon avenir Reste près d'moi, Paroles de la chanson A cause de toi par Léa Castel C'est comme un coup de couteau Qui transperce mon ego Des silences qui résonnent Me tiennent en laisse Je m'accroche à des photos Et je manque de ta peau Chaque fois qu'on s'abandonne Qu'on se délaisse Notre histoire tombe à l'eau Et je me noie dans les flots sans toi À cause de toi, mon cœur saigne Car tous mes rêves t'appartiennent, Il faudrait que tu reviennes Tu sais, à cause de toi, mon cœur saigne Car tous mes rêves t'appartiennent, Il faudrait que tu reviennes C'est comme une balle en plein cœur De regret, de rancœur. Ton absence qui résonne et dérésonne Et je compte les heures, Aucun souvenirs ne meurt Personne ne te remplace, J'perds le contrôle Notre histoire tombe à l'eau Et je me noie dans les flots sans toi À cause de toi, mon cœur saigne Car tous mes rêves t'appartiennent, Il faudrait que tu reviennes Tu sais, à cause de toi, mon cœur saigne Car tous mes rêves t'appartiennent, Il faudrait que tu reviennes Chaque nuit, j'attends que tu rentres, J'ai toujours cette boule au ventre, Je n'fais que penser à toutes mes fautes Je me tue à t'attendre, J'aimerais juste comprendre À cause de toi, mon cœur saigne Tous mes rêves t'appartiennent, Il faudrait que tu reviennes Tu sais, à cause de toi, mon cœur saigne Tous mes rêves t'appartiennent, Il faudrait que tu reviennes À cause de toi, mon cœur saigne, mon cœur saigne, mon cœur saigne... Mon cœur saigne... Il faudrait que tu reviennes, À cause de toi, mon cœur saigne, mon cœur saigne, mon cœur saigne, Mon cœur saigne... À cause de toi, mon cœur saigne Car tous mes rêves t'appartiennent,Il faudrait que tu reviennes Àcause de toi, mon cœur saigne Car tous mes rêves t'appartiennent Il faudrait que tu reviennes Tu sais, à cause de toi, mon cœur saigne Car tous mes rêves t'appartiennent Il Paroles en Anglais Bleed Through Traduction en Français Saigne a travers I keep telling myself its just not in my hands Je continue a me dire que c'est juste hors de mes mains this seems outta my hand man ça a l'air d’être hors de ma main man For losing you slowly was just not in my plan De te perdre lentement n’était pas dans mes plans this wasn't supposed to happen like this ce n’était pas supposé arriver comme ça I look to the sky sometimes, just hoping you're there Je regarde le ciel des fois, juste en espérant que tu sois i don't think shes coming back this time je ne crois pas qu'elle retourne en ce moment Hoping you're there not this time En espérant que tu soit là pas en ce moment Cause every time I pick up a pen its all you Parce que chaque foi que je prend un stylo, tout est toi And there beside me in my mirror, all i can see is us two Et dans mon intérieur dans mon miroir, tout ce que je vois Pages turn so fast like all those pages do C'est nous deux Your words that bleed through Pages tournent si vite comme tout les pages font Your words that bleed through Tes mots qui saignent tout au long Get back in my arms and just hanging by my side Tes mots qui saignent tout au long Losing hold of you has left me dry Retourne dans mes bras et reste a mes cotés Tell me where you run to and where do you hide Ne plus te tenir m'as laissé à sec Know you've never once left my mind Dis moi vers où tu cours et où tu te cache Tell yourself I'm sorry for these things that I've done Sache que tu n'as jamais sortit de ma tête Oh tell yourself never seen that love that gone no Dis-toi je suis désolé pour ces choses que j'ai fait Tell yourself its over now and not to run Oh dis-toi n'avoir jamais vu l'amour partir Just tell yourself I'm sorry for what I've done Dis-toi que c'est finit maintenant et de ne pas courir Cause every time I pick up a pen its all you Dis-toi seulement je suis désolé pour ce que j'ai fait And there beside me in my mirror, all i can see is us two Parce que chaque foi que je prend un stylo, tout est toi Pages turn so fast like all those pages do Et dans mon intérieur dans mon miroir, tout ce que je vois Your words that bleed through Pages tournent si vite comme tout les pages font Your words that bleed through Tes mots qui saignent tout au long Listen while I'm talking, I don't do it too much Tes mots qui saignent tout au long Can't help feeling that came between us écoute ce que je dis, je ne le fait pas souvent Whatever happened to the way that it was Je peux pas aider a sentir ce qui nous arrive One thing I cant have is what I want Peu importe ce qui est arrivé par le chemin que c’était Who decided its gonna end up this way Une chose que je ne peux pas avoir c'est ce que je veux Who decided that you could not stay Qui a décidé que ça aller finir de cette manière You wont be here by the end of my day Qui a décidé que tu ne peux pas rester Cause i cant even listen to words that i say Tu ne va pas être ici a la fin de ma journée But every time I pick up a pen its still you Parce que je ne peux même pas écouter les mots que je dis And there beside me in my mirror, all i can see is us two Parce que chaque foi que je prend un stylo, tout est toi Pages turn so fast like all those pages do Et dans mon intérieur dans mon miroir, tout ce que je vois Your words that bleed through C'est nous deux Your words that bleed through oh e oh e oh. Pages tournent si vite comme tout les pages font I swear you never really miss it till its half gone Tes mots qui saignent tout au long Then you tighten up your grip trying to hold on Tes mots qui saignent tout au long oh et oh et oh Didn't really appreciate it when its in your arms Je jure que cela ne t'as jamais manqué jusqu’à que ta Then you can relate to every word in your song Alors tu sert fort ta poignée en essayant de la tenir Like was i wrong but i know I'm right Tu n’apprécie pas vraiment quand c'est dans tes bras But in hindsight, I blame the limelight Alors tu peut reporter chaque mots dans ta musique Maybe i just needed time to get my mind right Comme si c’était une erreur, mais je sais que c'est Maybe we'll reconnect when the times right Correct I'm trying to think about the causes Mais sur le recul, j'accuse les projecteurs Was i too bossy exactly where the fault is?? Peut-être j'ai juste besoin d'un temps pour mettre mes I was told to step in love with some caution Peut-être qu'on va se reconnecter quand ça serait temps Cause love and shit is no difference in the darkness J'essaye des penser a propos des causes But love is where the heart is Étais-je trop autoritaire exactement où la faute est? You can see the blood as its dripping through the gausses On m'a dit de m'intensifier dans l'amour avec quelques So i guess I fell outta love with a smile and more love with Précautions Parce que l'amour et la merde n'ont pas de différence dans And its quiet in my house L'obscurité Your silence is my home Mais l'amour est où le cœur est And everything reminds me Tu peux voir le sang comme si les goutes coulaient ver les Alors je suppose, que je suis tombé amoureux avec un Its quiet where you used to be Sourire et plus d'amour avec des applaudissements And now that you're gone, there's not a sound, there's not Et c'est tranquille dans ma maison Well its quiet when I'm drinking Its___ when I'm eating, always I sleep all alone C'est plus tranquille que l’habitude Its quiet now it's louder than i sit still like a stone Et maintenant que t'es partie, il n'y a pas de bruits, il Only from my dreams where you wont go N'y a pas un mot mais une tonalité Every time I pick a pen its all you Ben, c'est silencieux quand je bois And there beside me in my mirror, all i can see is us two C'est tranquille quand je fume Pages turn so fast like all those pages do C'est tranquille quand je mange, chaque fois je dors tout Your words that bleed through C'est silencieux maintenant c'est pesant alors je m'assis Don't pick up that pen, no I, all I say Comme une statut Don't look in the mirror, at all I am Juste pour mes rêves où tu n'es pas partie The pages turn, the pages burn Parce que chaque foi que je prend un stylo, tout est toi And its all cause of you Et dans mon intérieur dans mon miroir, tout ce que je vois it was tears that were soaking these pages, Pages tournent si vite comme tout les pages font Words that left me bleeding and pleading?? Tes mots qui saignent tout au long How did i get in this predicament??? Ne prend pas ce stylo, non je, tout ce que je dis Was I influenced by the benefits Ne regarde pas dans le miroir, c'est tout ce que je suis Cause I was hitting on so many chicks Et tout ça est a cause de toi Lovin' you and leavin' you was the only sentiment c’était des larmes qui trempaient ces page, But I guess I wasn't ready for ya Mots que j'ai laissé couler et plaider? Cause I'm rubbing your feet, cooking spaghetti for ya Comment je suis arrivé a cette situation? Taking you to parks winning teddy's for ya J’étais influencé par les bénéfices But in my heart I'm thinking there's someone better for ya Parce que frappait sur plusieurs poussins But my hearts like 'no not this again' T'aimer et te laisser était le seul sentiment Cut it out black, you know how this will end Mais je crois que je n’était pas encore prêt pour toi And I swear I really was listening Parce que j'ai frotté tes pieds, j'ai cuisiné des But my dick was yelling and my heart was just whispering Spaghettis pour toi So you know who I listened to Je t'es emmené a des parcs, gagné des oursons pour toi Now my hearts bitching cause hes missing you Mais dans mon cœur je pensait qu'il y avait quelqu'un mieux Got my eyes staring at some old flicks of you Mais mon cœur était du genre "non, pas ça encore" When my nose swears that it can still smell the scent of You Parce que hors du noir, tu sait comme ça va finir And my soul is saying damn she was meant for you Et je te jure, je l'entendait vraiment aw oh oh Mais mon pénis hurlait et mon cœur était juste en train And my soul is saying damn she was meant for you Alors tu sait qui j'ai entendu losing a part of myself now Maintenant mon cœur râle parce que tu lui manque And my soul is saying damn she was meant for you J'ai mes yeux fixés sur des anciens films de toi and I'm losing myself now Quand mon nez jure qu'il peut encore sentir ton odeur And my soul is saying damn she was meant for you Et mon âme dit "putain elle était faite pour toi" I've been wondering, watching Et mon âme dit "putain elle était faite pour toi" I've been waiting so long je perd une partie de moi maintenant I've been talking, I've been listening Et mon âme dit "putain elle était faite pour toi" I've been playing my song et je me perd maintenant I've been hoping you'd would be leaving Et mon âme dit "putain elle était faite pour toi" Je me demandais, regardant J'ai attendu si longtemps J'ai espéré que tu partais Sincèrement, tu ne l'es pas
Traductionen français des paroles pour Quantum Immortality par Crywolf. On the lips of my love, I'm alone again On the lips of my love, I'm alone again On the li
À cause de toi LyricsC'est comme un coup de couteauQui transperce mon egoDes silences qui résonnentMe tiennent en laisseJe m'accroche à des photosEt je manque de ta peauChaque fois qu'on s'abandonneQu'on se délaisse[Pont]Notre histoire tombe à l'eauEt je me noie dans les flots sans toi[Refrain]À cause de toi, mon coeur saigneCar tous mes rêves t'appartiennentIl faudrait que tu reviennesTu sais, à cause de toi, mon coeur saigneCar tous mes rêves t'appartiennentIl faudrait que tu reviennesC'est comme une balle en plein coeurDe regret, de rancoeurTon absence qui résonne et déraisonneEt je compte les heuresAucun souvenir ne meurtPersonne ne te remplaceJ'perds le contrôle[Pont]Notre histoire tombe à l'eauEt je me noie dans les flots sans toi[Refrain]À cause de toi, mon coeur saigneCar tous mes rêves t'appartiennentIl faudrait que tu reviennesTu sais, à cause de toi, mon coeur saigneCar tous mes rêves t'appartiennentIl faudrait que tu reviennesChaque nuit j'attends que tu rentresJ'ai toujours cette boule au ventreJe n'fais que penser à toutes les fautesJe me tue à t'attendreJ'aimerais juste comprendreÀ cause de toi, mon coeur saigneCar tous mes rêves t'appartiennentIl faudrait que tu reviennesTu sais, à cause de toi, mon coeur saigneCar tous mes rêves t'appartiennentIl faudrait que tu reviennesÀ cause de toi, mon coeur saigne, x4Il faudrait que tu reviennesÀ cause de toi, mon coeur saigne, x4À cause de toi, mon coeur saigneCar tous mes rêves t'appartiennentIl faudrait que tu reviennesHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum Bree, Bree, je t\u0019aime Bree ». Ais. Je t\u0019aimais. Moi aussi, je t\u0019aimais, je t\u0019aime toujours. Ces paroles, cet écho venu du passé, de mes souvenirs. On s\u0019est a A Cause De Toi - Lea Castel Lyrics Paroles de la chanson A cause de toi par Léa CastelC'est comme un coup de couteauQui transperce mon egoDes silences qui résonnentMe tiennent en laisseJe m'accroche à des photosEt je manque de ta peauChaque fois qu'on s'abandonneQu'on se délaisseNotre histoire tombe à l'eauEt je me noie dans les flots sans toiÀ cause de toi, mon cœur saigneCar tous mes rêves t'appartiennent,Il faudrait que tu reviennesTu sais, à cause de toi, mon cœur saigneCar tous mes rêves t'appartiennent,Il faudrait que tu reviennesC'est comme une balle en plein cœurDe regret, de absence qui résonne et dérésonneEt je compte les heures,Aucun souvenirs ne meurtPersonne ne te remplace,J'perds le contrôleNotre histoire tombe à l'eauEt je me noie dans les flots sans toiÀ cause de toi, mon cœur saigneCar tous mes rêves t'appartiennent,Il faudrait que tu reviennesTu sais, à cause de toi, mon cœur saigneCar tous mes rêves t'appartiennent,Il faudrait que tu reviennesChaque nuit, j'attends que tu rentres,J'ai toujours cette boule au ventre,Je n'fais que penser à toutes mes fautesJe me tue à t'attendre,J'aimerais juste comprendreÀ cause de toi, mon cœur saigneTous mes rêves t'appartiennent,Il faudrait que tu reviennesTu sais, à cause de toi, mon cœur saigneTous mes rêves t'appartiennent,Il faudrait que tu reviennesÀ cause de toi, mon cœur saigne, mon cœur saigne, mon cœur saigne...Mon cœur saigne...Il faudrait que tu reviennes,À cause de toi, mon cœur saigne, mon cœur saigne, mon cœur saigne,Mon cœur saigne...À cause de toi, mon cœur saigneCar tous mes rêves t'appartiennent,Il faudrait que tu reviennes A Cause De Toi » Lea Castel Letras !!! Disfruta la Musica de Lea Castel, Canciones en mp3 Lea Castel, Buena Musica Lea Castel 2022, Musica, Musica gratis de Lea Castel. RegardezÀ Cause De Toi Mon Coeur Saigne - Lea Castel (cover djena della) - musica sur Dailymotion. Recherche. Bibliothèque. Se connecter. S'inscrire . Regarder en plein Invité Invité Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 1 Sep - 2137J’ai dans ma collection de souvenirs une image de me semble loin comme le son de ta voix, comme la sensation de tes mains sur mes hanches j'ai bon a fermé les yeux le temps use les souvenirs restant malgré mes efforts à les conserver. Il y a bien longtemps que ton odeur m'a quitté bien longtemps que ton sourire est fané par les dégâts de ton absence, je suppose que tu as dû partir pour chercher ta chance en laissant derrière toi ce que tu avais de plus te vois dans les traits de son visage, je t'entends dans son rire, je te respire en elle à chaque battement de son coeur... Je te vois à travers ses yeux chaque jour blotti contre toi. Une phrase dit " Loin des yeux, loin du coeur" elle me sonne bien fausse puisque le temps passe, mais jamais je n'oublie l'amour que tu as graver en moi. J'ai cherché pendant des années à comprendre pourquoi tu m'as abandonné pourquoi je ne t'ai jamais retrouvé et j'ai imaginé des situations plus douloureuses les unes que les autres... Mon espoir à te retrouver a nourri mes nuits pendant des années... J'ai franchi des barrières, des frontières pour un jour revoir les traits de ton visage, mais je n'ai jamais eu cette chance et notre Leksa a finalement eu le besoin de sa mère alors, j'ai d'une certaine manière baisser les bras sans jamais oublier les souvenirs de notre vie. Je pourrais te demander pardon pour les barrières que je t'ai faites franchir, mais ton silence et les années passées ont effacé cette culpabilité qui m'a rongé pendant une la lâcheté dont tu as fait part en me laissant du jour au lendemain, tu as éveillé en moi une force que je ne connaissais pas, tu as été ma force pour me relever et être la mère que notre fille avait me suis battue pour elle et pour le souvenir de notre amour et j'ai réussi à devenir celle que j'aurais dû toujours être. Je ne sais pas aujourd'hui, si l'enfer à oublier qui je suis, mais je sais que je connais la douceur du paradis puisqu'enfin je sens que mon âme et en paix. Pourtant, mon coeur lui est toujours en peine malgré ses quinze années qui se sont écoulés, il saigne et pleure toujours ton absence. J'ai essayé de t'effacer par tous les moyens que le ciel à mit en ma possession, mais tu reviens encore et toujours à tout ce qu'une femme dite normale peut rêver d'avoir puisque je suis mariée à un homme adorable qui sait prendre soin d'une femme et d'une adolescence, j'ai une maison que peu de gens peuvent se permettre d'avoir, j'ai l'amour de notre fille et pourtant, je ne suis pas heureuse. Mon amour pour toi est mon poison, il me ronge, il me bouffe, il me détruit de jour en jour. Pendant des années entières tu as été ma force, mais aujourd'hui tu es ma faiblesse et il est temps pour moi de tourner cette page une bonne fois pour pour ça que je me retrouve sur le lit de ma chambre un pendule à la main et la carte du monde devant moi, je te cherche avec des moyens bien plus puissants. Je pourrais te chercher pour notre fille, mais elle ne souhaite pas te connaître la colère est bien trop présente en elle et je la comprends... Je profite de cette nuit pour lancer ce sort puisque mon mari n'est pas présent à cause d'un déplacement en tailleur je regarde le pendule tourne encore et encore avant de se poser sur notre pays et plus précisément sur notre région, je fronce les sourcils et je saute du lit pour courir dans la chambre de Leksa qui dort chez une amie, j'ouvre ses tiroirs de bureau et je trouve une carte de notre ville je retourne dans ma chambre et je me place à nouveau sur le lit où je place cette nouvelle carte retirant l'autre la balançant sur le côté. Je reformule le sort de localisation et le pendule se dépose sur notre ville mon coeur s'emballer et mon sang ne fait qu'un tour de mon corps. Je ressens ma colère enfouie depuis ses années remontées à la surface, j'attrape l'un des livres de mon arrière grand-mère et je cherche un autre sort de localisation qui lui sera plus précis après quelques heures je me retrouve devant un bar miteux. J'entre dedans naturellement, je suis certaine que je ne passe pas inaperçu puisque je sens des regards sur ma personne, mais le seul qui m'importe est celui du traître qui me fait encore regarde sur ma droite puis ma gauche et je le vois, mon coeur rate un battement après tant d'année je remarque sa silhouette que je ne peux pas oublier. Je m'avance vers le bar et je commande deux bières que nous avons à l'époque pour habitude de boire. Normalement, je ne bois plus, mais la magie à ses avantages puisqu'il me suffit de me lancer un sort pour que mon corps puisse se contrôler face à l'alcool, je m'avance vêtue d'une tenue qui me ressemble puisque c'est une robe noire avec une ceinture dorée Je ne parle pas des chaussures j'arrive à sa table, je me retrouve derrière lui et je passe sur le côté où je dépose une bière devant lui en disant > je tourne mon regard pour le poser dans le sien ce que je ressens en ce moment même n'a pas de mot et n'est pas descriptible. Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 2 Sep - 119 J'ai dans ma collection de souvenirs une image de toi“I never meant to hurt you, It's just something I guess it's not a good excuse. And she will always hate me,no matter what I say.”Dans son appartement dénué de tous luxes et d’ornements, Aksel tournait en rond. Il faisait les cent pas, observant de temps à autre la fenêtre qui donnait sur une ruelle submergée par la pénombre de la nuit. Ah, il était tiraillé entre son désir de terminer la bouteille de whisky qui gisait au fond de son frigo, et son désir de se rendre au bar pour espérer ressentir un brin de chaleur. La solitude lui pesait lourdement sur les épaules et Aksel cherchait désespérément un moyen de se débarrasser de ce poids mort, qui avait l’audace d’étouffer sa poitrine. Lui, Aksel Kovaleski, paniqué à l’idée d’être seul, cloîtré dans son salon. Cette idée aurait pu lui arracher un rictus, si seulement il en avait eu le coeur. Ce soir-là, la quiétude qui lui avait toujours paru rassurante, semblait agitée l’homme comme la bête tapie dans les abysses de son être. Il n’avait pas envie d’être seul. Cette vérité l’avait frappé, à l’instant même où il avait quitté son lieu de travail pour se traîner jusqu’à son appartement. D’où provenait ce sentiment ? Il n’en avait pas la moindre idée. Il éprouvait simplement le besoin d’entendre du bruit, qu’importe la source. De la musique, des rires, des voix...le silence ne le berçait plus et ne suffisait pas à l’apaiser, même le loup semblait grogner de mécontentement. Le jeune russe prit une profonde inspiration, remplissant ses poumons d’oxygène comme s’il était resté en apnée durant de longues minutes. Si seul. Son regard survola les murs vierges de la pièce, le canapé vide face à un écran éteint, la plante posée avec nonchalance au centre d’une table au bois abîmé. Si seul. Le silence devenait pesant, au point qu’Aksel ressentait dorénavant la sensation de suffoquer. Son appartement lui fit l’effet d’une cage. Une cage qui se refermait sur lui, au fil des minutes. Et le loup ne le supportait plus. Les murmures de la nuit lui parvenaient, sonnant comme une invitation à la rejoindre. Mais pouvait-il réellement prendre le risque de se mêler à la foule ? Aksel se savait être instable et les bars n’étaient pas toujours réputés pour leur sobre et raisonnable clientèle. Il n’usait que très rarement de la violence mais s’il ne commençait jamais une bagarre, le loup se faisait une joie de les terminer. Tant pis. Il était prêt à prendre ce risque, rien que pour chasser cette solitude, manifestement affreusement tenace. Il enfila un long manteau crème par-dessus sa chemise entièrement noire accordée éternellement à son pantalon, puis attrapa une paire de bottines à la couleur aussi sombre que le reste de sa tenue. Dès l’instant où l’air frais mordit ses joues, Aksel sentit une vague d’énergie le submerger. Comme s’il respirait de nouveau, son palpitant retrouvait son comportement flegmatique et ne cherchait plus à s’extraire vigoureusement de sa cage thoracique. Le russe prit la direction du bar qu’il fréquentait régulièrement, parfois rien que pour profiter des nombreux effluves délicieux de l’alcool. Accompagné par une brise glaciale, Aksel progressait dans la rue, se fondant parfaitement dans l’obscurité de la nuit, chaque pas le rapprochant un peu plus du moment fatidique. Il s’arrêta finalement face à l’enseigne qui lui était familière et se retrouva englouti par un torrent de paroles, et un flot d’odeurs différentes. Il inspira doucement avant d’ouvrir la porte de l’établissement. Aksel se fraya sans difficultés un chemin jusqu’au bar, le regard dirigé vers le fauteuil vide. Personne ne tourna la tête pour l’observer, quiconque croiser son regard se serait certainement confondus en excuses, sans véritables raisons. Le loup dormait, mais il ne suffisait que d’un murmure pour l’arracher à son sommeil. Mais le jeune russe n’avait nullement besoin du prédateur qui somnolait dans son cœur pour paraître naturellement intimidant. Des épaules larges, une stature haute et carrée, des yeux aussi sombres qu’une nuit sans étoiles, le moindre détail de son apparence sonnait comme une menace. Aksel se glissa sur un siège, et s’empressa de commander une bière. La cacophonie du lieu était presque étourdissante, mais le russe était étrangement à son aise. La musique agressait sans ménagement son ouïe bien plus fine que celle d’un humain, mais Aksel se sentait à sa semblant de chaleur qui se déversait dans son corps était agréable, bien plus que l’alcool qui coulait dorénavant dans son grincement de la porte d’entrée retentit, laissant entrer un délicieux parfum teinté de miel. Un parfum empli de douceur, mêlé à une certaine assiduité. Un parfum qui lui rappela aussitôt une vague de souvenirs, bien qu’Aksel était conscient que la silhouette qui se dessinait dans son esprit ne pouvait être en aucun cas celle qui traversait le bar. Pourquoi ? C’était tout simplement impossible. Il avait abandonné Iris en Russie, il y a des années. Son cœur se serra aussitôt à cette pensée, alors que le visage de la jeune femme lui apparaissait toujours avec autant de clarté. Il n’avait pas oublié un seul détail de son apparence. Chaque fragment de son être était ancrés en lui et même l’éternité n’aurait pas suffi à effacer son image. Son premier amour. Son unique amour. Iris, celle pour qui il se serait damné sans hésiter, rien que pour espérer apercevoir l’ombre de son sourire lumineux. Il aurait pactisé avec le diable, rien que pour entendre le murmure de son rire cristallin. Il aurait chassé les anges pour lui offrir le paradis. Seulement, sa vie en avait voulu autrement. Coincé avec la malédiction, Aksel s’était comporté comme le lâche qu’il était, et le lâche qu’il continue à être. Alors qu’il portait doucement le verre à ses lèvres, le parfum qu’il trouvait terriblement irrésistible envahi tout son espace et Aksel n’eut pas le temps d’esquisser le moindre mouvement pour observer la silhouette installée à ses côtés. Une voix qu’il n’avait pas entendue depuis des années retentit par-dessus le vacarme et le moindre de ses muscles se figèrent aussitôt en réponse. Cette voix, il la reconnaîtrait entre mille. Son verre resta suspendu dans les airs durant un quart de seconde, alors que le russe ne répondait plus de rien. Sa mâchoire se contracta, alors que ses doigts enserraient avec violence la coupe presque vide. Son expression ne transmettait pas la moindre de ses émotions, et son regard ne reflétait rien de ce qu’il ressentait, pourtant...pourtant, au fond de lui, déferlait une vague de sentiments qui emportait tout sur son passage. Son prénom franchit alors ses lèvres, avant même qu’Aksel ne réalise quoi que ce soit. “Iris.”. Une myriade d’émotions l’envahissait, tandis que le russe tournait la tête pour observer le feu qui avait ravagé son être, il y a quinze ans. Il plongea ses pupilles voilées par un manteau de ténèbres dans ses yeux étincelants, et le monde autour d’eux se dissipa aussitôt. Son regard le percuta avec une telle violence qu’Aksel en garderait certainement des bleus à l’âme pour des semaines. Seigneur. Elle était aussi belle que dans son souvenir. Iris. Sa splendide et flamboyante Iris. Non, diable, non. Cette femme n’était plus sienne depuis des années. Le lâche qu’il restait détourna la tête, incapable de supporter plus longtemps l’océan de sensations qu’il ressentait. Aksel attrapa la bière que la jeune femme lui tendait, soucieux d’éviter son regard qui était comme une porte ouverte sur le passé. Leur passé. “ Qu’est-ce que tu fout ici ?”lâcha-t-il finalement, son timbre aussi mordant que la brise extérieure. Ses yeux se posèrent sur le mur de bouteilles qui s’étalait derrière le bar et Aksel entreprit de feindre un désintéressement total. Oh, c’était aussi douloureux que toutes ses métamorphoses réunies. Mais Aksel était incapable de la regarder en face sans songer à l’atrocité qu’il avait commise. Le meurtre de son assaillant. Peut-être était-il parti pour son bien, pour celui d’Iris, pour leur bien commun, intentionnellement. Mais sa fuite avait été avant tout par faiblesse, et le russe en était pleinement conscient. Et la présence d’Iris ne faisait qu’amplifier ce sentiment de lâcheté qu’il éprouvait. “ ou plutôt, qu’est-ce que tu veux ? Il y a rien pour toi ici, et je n’ai rien à te donner.”ajouta-t-il, glacial, tranchant comme une lame de couteau aiguisée.Iris St-John Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 2 Sep - 1722J’ai dans ma collection de souvenirs une image de rêvé de ce moment pendant des années entières, j'ai vu défiler la pleine lune un nombre incalculable de fois j'ai imaginé ton visage dans l'obscurité la plus profonde, mais aucune de mes mises en scène travailler et répéter en boucle dans ma tête ont eu l'effet que je ressens en ce moment crois que n'importe quelle simulation n'aurait pas eu l'effet et la sensation que mon coeur ressent en ce moment même. Oh, j'ai imaginé un tas de raisons possibles pour pardonner ton départ, j'ai cherché à rendre ta fuite, ton abandon moins pénible en te trouvant des excuses... J'ai nourri ma colère avec des "Si" et des "Peut-être" et j'ai réellement pensé que ce soir-là quelques choses t'étaient arrivés et que la mémoire t'avait simplement été arracher. Mais entendre ta voix prononcée avec tant de facilité les quatre lettres qui font mon prénom m'oblige à réaliser ce que je n'ai jamais réellement voulu admettre. Tu es simplement parti en me laissant derrière toi, je cligne doucement des paupières gardant mon regard sur toi, dieu que tu n'as pas changé. Je retrouve les traits de ton visage dure et sévère et tes yeux scintillant et profond, le temps à marquer ton visage puisque les années sont passées, mais cela n'enlève rien à ton charme et ton attrait au contraire une touche de mystère a pris naissance au creux de tes bout de ma langue glisse doucement sur mes lèvres pour les hydratées t'avoir à mes côtés m'assèche comme le désert assèche son territoire... Aussi loin que je me souviens tu as toujours été mon oasis, mon espoir, mais je me rends compte que je n'étais pas ce que tu as pu être pour moi. Je sens la plaie faussement cicatrisé en moi s'agrandir face à la dure vérité qui m'éclate au ce que je ressens je reste à tes côtés, mon regard reste sur tes traits que j'ai tant observés autre-fois. De ma voix cristalline, fruité je te réponds >. Je sens l'ironie prendre possession de mon corps et de mon esprit, mais je la balaie d'un coup pour ne pas tomber dans la haine, la colère pourtant, cela m'est légitime. Ton regard caresse le mien tandis que le mien se perd dans les profondeurs du tien comme autrefois. Le temps d'un instant, je me sens légère, libre comme une reine qui retrouve son roi après des années de combat. Mais cette légèreté me quitte quand tu détournes le regard, je te laisse saisir la bière que je t'ai apportée et je remarque que tu tentes d'éviter mon regard. Je prends place à tes côtés quand tu me demandes d'une manière mordante qui briserait la glace d'un hiver légendaire. Autrefois peut-être que le ton de voix m'aurait fait trembler, mais la gamine que tu as pu connaître est loin derrière moi, je me suis renforcée j'y ai été obligée à cause de reste de marbre face au timbre de voix que tu emplois et je garde mon regard sur toi alors, que tu t'obstines à m'ignorer dans un sens. Je m'apprête à te répondre quand tu reprends pour me demander ce que je veux puisque tu n'as plus rien à me donner d'après tes dires. Oh Aksel, si tu savais ce que moi j'ai à te donner, à t' langue passe doucement sur mes dents de devant et je te réponds > ma voix reste calme et posé puisque je ne suis pas ici pour créer une faille surtout que je sais parfaitement que ma colère pourrait créer une faille aussi importante que celle de Saint-Andréas. Je me contrôle pour le moment du moins >. Je prend ma bière et je dépose le goulot de la bouteille sur mes lippes rosée pour en boire une gorgée avant de la déposer sur le comptoir en passant une main dans mes cheveux pour les remettre en arrière > j'inspire doucement l'air de ce bar qui me semble être étouffante, je tente de faire la conversation, mais cela est compliqué puisque je ressens l'envie de t'en mettre une pour ce que tu m'as fait, pour ce que tu nous as fait à elle comme à moi. Ma main tremble, mais je serre le poing pour contenir un peu plus cette colère et ce besoin d'extérioriser ce que j'ai enfouie au plus profond de mes entrailles. Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 3 Sep - 1801 J'ai dans ma collection de souvenirs une image de toi“I never meant to hurt you, It's just something I guess it's not a good excuse. And she will always hate me,no matter what I say.”Il y a quinze ans, son univers portait un nom. Le sien. Iris. Comment pouvait-il oublier ce prénom qui même après toutes ces années, lui provoquait encore un délicieux frisson à travers son corps ? Elle lui avait tendu la main et avait brisé les murailles érigées autour de lui. Comment, comment, pouvait-il oublier ce prénom qui avait marqué son âme au fer rouge ? Elle était une partie importante de sa vie. Elle était son passé, et autrefois, il avait imaginé qu’elle deviendrait son futur. Ah, oui, il avait imaginé un avenir à ses côtés. C’était comme une évidence qui s’était imposé à lui. Dans sa folie, il avait même songé à l’épouser, et comme il aurait aimé embrasser l’éternité à ses côtés ! Leur vie aurait pu être teintée de couleurs, de passion et d’amour. Si seulement il n’avait pas eu cette fichue arme métallique dans la poche. Si seulement, il était venu la récupérer en voiture. Si seulement, il n’avait pas appuyé sur la gâchette. Si seulement il n’était pas une bête sauvage, incapable de contrôler ne serait-ce qu’une partie du loup. Si seulement il n’était pas maudit. Aksel ne l’aurait jamais abandonné. Jamais. Il aurait déplacé des montagnes pour la garder à ses côtés. La malédiction aurait pu être réduite à une vieille légende. Pourtant. Aksel était bien là, assis à un bar, en compagnie de ses vieux démons qui lui susurraient quelques douces paroles à l’oreille. Sa vie était devenue un Enfer, et Aksel s’abandonnait aux flammes destructrices qui ravageaient son existence. Sa vie aurait pu prendre un tournant différent mais la tornade l’avait emporté loin d’Iris, son point d’ancrage. Son seul et unique repère en ce bas monde. Il l’avait abandonné, sans un seul regard en arrière, sans un seul regret. Du moins, à l’époque. Maintenant qu’il l’avait sous ses yeux, si belle qu’elle en devenait cruelle, un flot de remords le submergeait. Peut-être aurait-il dû faire les choses différemment. Peut-être aurait-il pu se reposer sur elle. Mais Iris, l’aurait-elle aimé avec la même ferveur si elle avait vu le monstre qu’il était devenu ? Non. Certainement pas et Aksel aurait était incapable de supporter son regard chargé de haine et de dégoût. Cette vérité le poignarda aussi violemment qu'un couteau en plein cœur. Bien sûr qu’elle n’avait pas besoin de lui. À quoi pensait-il ? Elle n’avait jamais eu besoin de lui. Pouvait-il en dire autant ? Non, il avait toujours eu besoin d’elle. Aksel effleura son menton de sa main, seule réaction qui émane de lui alors que le sarcasme de la jeune femme manqua de lui arracher un sourire sardonique.“ Toi et moi, on sait que ma courtoisie sonnerait fausse.”répliqua-t-il tandis qu’il contemplait la surface de l’alcool qui ondulait dans son verre, alors qu’Aksel faisait tourner ce dernier en l’air. Finalement, il tourna ses yeux de glace pour observer la jeune femme qui continuait à l’impacter, malgré toutes les années écoulées. Comme il admirait la fierté qui brillait dans ses pupilles. Comme il appréciait la douceur de ses traits, douceur qui offrait un délicat contraste avec cette énergie explosive qui vibrait tout autour d’elle. Le temps d’un maigre et furtif instant, son regard parut s’adoucir face aux tremblements presque imperceptibles d’Iris. Une part de lui se haïssait d’être la cause de cette fureur, et se haïrait toujours pour avoir été un jour l’origine de sa douleur. Une part de lui aurait aimé être assez adroit avec les mots pour lui révéler les raisons de son départ. Une part de lui aurait voulu lui assurer qu’elle avait été une véritable lumière dans son obscurité. Mais Aksel en été tout simplement incapable et comme toujours, le russe se dirigeait vers l’option de facilité. “ Tu n’as pas répondu à ma question et j’imagine que tu n’as pas quitté la Russie pour simplement t’assurer que j’étais toujours en vie. Alors qu’est ce que tu fais véritablement ici ?”finit-il par demander, laissant entendre une certaine impatience transpercée dans ses propos, alors que son expression se refermait de nouveau. L’éclat qui était apparu s’évapora aussitôt, comme emporté par une brise fugace. “et comment m’as-tu retrouvé ?”ajouta-t-il, avant de boire une longue lampée de sa boisson. Son regard glissa une nouvelle fois vers la jeune femme, comme pour s’assurer qu’elle était bel et bien à ses côtés. L’étonnement imprégna aussitôt ses traits, tandis que ses yeux se posaient sur l’anneau ornant son annulaire. Un voile sombre s’était déposé sur ses pupilles, recouvrant la moindre lueur qui siégeait au cœur de ces dernières. La souffrance du loup, mêlée à la sienne, lui fit l’effet d’une vague se fracassant contre la roche. Il lâcha aussitôt son verre, comme si celui-ci venait de le brûler. Le russe releva la tête, cette fois-ci incapable de maîtriser la surprise qui s’était emparée de lui. Refusant d’accepter qu’un autre homme partagerait l’éternité avec Iris, Aksel se déroba à son regard pour fourrer la main dans sa poche et déposer un billet sur le comptoir. Mariée. La seule femme pour qui Aksel aurait décroché le soleil durant un orage, même quinze ans plus tard, était mariée. Il était parti et Iris avait refait sa vie. Il n’avait aucun droit de ressentir la tornade d’émotions qui tourbillonnait en lui. Et pourtant... Et pourtant, pour sa santé mentale, il aurait préféré qu’Iris ne mette jamais un seul pied à Tulsa. “ J’ai besoin d’air.”déclara-t-il, aussi clairement que possible, bien que son timbre tenait plus d’un grognement animal que d’une voix humaine. Iris St-John Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 7 Sep - 1509Notre histoire remonte à loin, si loin qu'on pourrait dire quelle date du temps des dinosaures puisque certain de mes souvenirs sont aussi fragiles que des fossiles pourtant, tu ne semble pas avoir changé que ce soit dans ta posture, ta manière de contracter ta mâchoire comme dans ta manière d'être désagréable . Oh je ne suis pas surprise puisque tu as toujours eu un caractère bien forgé plusieurs fois, nous avons eu l'occasion de confronter nos deux caractères créant une véritable scène digne d'une pièce de théâtre de shakespeare. Mes années à tes côtés ont été les plus belles, mais pas les plus douces, nos beuveries et nos erreurs on bien souvent animé des situations plus farfelus les unes que les autres. J'ai pour ma part quitter ce monde, mais en te regardant je me demande où tu en es... Étrangement, sans aucune raison visible j'ai le sentiment que tu ne sais pas toi-même où tu en réaction est directe quand il s'agit de te répondre, je tente d'étouffer le sarcasme dont j'ai toujours su faire preuve quand la haine, la colère, le dégoût m'envahit, mais je n'y parviens pas totalement puisque que malgré moi je viens de te faire une remarque sur la connaissance toujours acquise de mon prénom, mais je me permets en prime d'ajouter que je n'attends plus rien de toi depuis fort longtemps et dans un sens, c'est vrai tandis qu'une moitié de moi sait parfaitement que cela est un mensonge puisqu'une part de moi espère qu'un jour tu seras le père que tu aurais dû être il y a longtemps son de voix que tu emplois pour me répondre caresse mon moi intérieur, tu n'imagines pas le bien, le soulagement que je ressens, rien qu'en entendant le ton de ta voix. Malgré le bien-être que tu m'apportes sans t'en rendre compte ta remarque reste totalement approprié à celui que tu pourrais en ce moment même laissée la rancœur que je ressens envers toi de côté pour être la gentille et douce Iris, mais la sensation que tu me procures en ce moment même n'est pas suffisante pour calmer cette rage qui brûle en moi >. Mon regard est toujours sur toi, je ne parviens pas à m'en détacher comme-si mon regard était paralysé par les traits de ton visage. Tu sembles être agacé par ma présence pire encore tu sembles êtres désintéressé puisque la surface du liquide présent dans ton verre attire d'avantage ton attention. Le temps d'un instant je me demande où est le regard que tu posais sur moi à l'époque celui qui me donnait la sensation d'être exceptionnelle, d'être celle qui valait bien mieux que les autres, c'est quand tu tournes enfin le regard pour le poser sur moi que mon esprit quitte ses questions qui n'ont plus de sens aujourd'hui puisque je le sais avec certitude que jamais plus je n'aurais ce genre de regard enfin dans le tien, je te cherche tentant de passer à travers les murailles et les barricades que tu as pu te forger en quinze longues années. Je cherche cette connexion qui nous reliait, mais je ne la trouve pas du moins pas directement. C'est seulement après quelques secondes que je trouve une faille, mais celle-ci fut brève, maigre et furtive puisque ta défense a repris possession de ton âme. Tu reprends la parole et tu reviens sur ta question précédente, tu as toujours été têtu je ne suis donc pas surprise. Je tapote doucement mes doigts sur ma bouteille de bière et je viens à te répondre > dis-je alors pour répondre à ce que tu as bien pu imaginer après tout, tu n'as pas conscience des efforts et des moyens que j'ai mit dans mes recherches, recherche qui ne m'ont mené nulle part. J'entends ta patience te jouer des tours puisque le son de ta voix est légèrement tirailler par sa concurrence. Je m'accroche malgré tout à ce petit éclat que je nommerais de survivant dans ton regard noir et ténébreux et je m'apprête à te répondre quand tu assassines cet éclat pour me poser une nouvelle question > dis-je d'une voix net et remarque que tu laisses glisser ton regard sur ma personne rien que ce regard pourtant, vide de sentiment me caresse de bien-être. Après toutes ses années, aurais-tu toujours autant de pouvoir sur moi ? Je te fixe attendant une réponse à ma question, mais au lieu de voir tes lèvres se mouvoir c'est ton regard qui te trahit puisque j'y découvre de l'étonnement, instinctivement mon regard rejoint le tien pour découvrir l'objet de ta surprise. Mon alliance semble être l'objet de ta décomposition chose qui me surprend. La brillance, la lueur et l'humanité qui restait dans ton regard disparaît sous un voile sombre et épais. Le bruit du verre que tu viens de lâcher me fait légèrement sursauté et je cligne des yeux cherchant à comprendre ton comportement soudain. J'ai toujours dit que tu avais par-moment le comportement d'une bête et que tu devais laisser l'homme prendre le dessus, une simple métaphore concernant cette froideur que tu as toujours portée en toi et j'ai le sentiment que la bête à dévorer l'homme en l'espace de quelques secondes. Je te regarde sortir un billet de ta poche pour le déposer sur le comptoir et je fronce les sourcils en t'entendant dire que tu as besoin d'air, penses-tu partir ainsi ? Le ton de ta voix qui ne semble plus être humaine me fait frissonner de tout mon être tandis que mon regard t'observe t'éloigner. Je sors à mon tour de mon sac un billet sans prêter attention au montant et je dis en quittant mon siège >, l'argent n'est pas ma priorité et dans un sens l'argent n'a jamais été une priorité pour moi, mais quoi qu'il en soit en ce moment-même ma priorité c'est toi, toi qui t'enfuis une fois de plus loin de moi. Je te suis avec un pas de retard, je te rejoins dehors dans cette rue qui empeste le fromage et le putois mort, mais je n'y prête pas attention puisque qu'une fois dehors ma main se pose sur ton avant bras pour te retenir > dis-je doucement dans un murmure presque inaudible, ma raison exige que je te saute dessus, mon esprit me brûle les neurones pour que je t'hurle dessus tout le mal que tu m'as fait, mais mon cœur lui souffre de te voir perdre la face pour un anneau qui à mes yeux ne signifient rien. Le contact de ta peau contre la mienne laisse passer un courant électrifiant qui parcourt chaque partie de mon corps. Ressens-tu ce que je ressens en cet instant ? Je cligne des yeux en te fixant cherchant désespérément à te comprendre. Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 12 Sep - 1113 J'ai dans ma collection de souvenirs une image de toi“I never meant to hurt you, It's just something I guess it's not a good excuse. And she will always hate me,no matter what I say.”Non, ils ne savent plus rien de l’un et de l’autre. Ils sont réduits à deux inconnus, deux inconnus partageant un passé. Les années ont fait d’eux des étrangers, étroitement liés par des souvenirs emplis de douceur et de passion. Des souvenirs emplis d’amour, des souvenirs qu’Aksel était incapable d’oublier. Des années, toute une vie, une éternité pouvait bien s’écouler. Jamais, oh grand jamais, il n’oublierait la ferveur du brasier qui les consumait tous deux. Pourtant, ils étaient là, assis l’un à côté de l’autre, et Aksel se contentait de garder une indifférence totale. Exagérée. Feinte. Une belle mascarade pour camoufler ce qu’il pensait réellement, pour camoufler le maelstrom d’émotion qu’Iris avait déclenchée en lui par sa simple présence. Sa simple voix. Sa simple odeur. Mais ces dernières étaient dénuées de toutes simplicités. Elles étaient complexes, mielleuses, douces et en même temps, si acidulées. Si forte. Iris avait toujours eu cet effet alambiqué sur lui, et s’il devait être honnête avec lui-même, la première fois qu’il avait croisé son regard, un frisson de peur l’avait parcouru. Elle dégageait une telle force d’esprit qu’Aksel en avait été déstabilisé. Seigneur, il n’était qu’un gamin perdu, à l’époque. Seulement, avait-il réellement changé depuis ?Beaucoup de choses avaient changé. Mais Aksel n’avait certainement pas retrouvé son chemin. Son égarement perdure encore et encore. Il n’est qu’un vaisseau parti à la dérive, perdu entre ce qu’il est, ce qu’il devrait être, et ce qu’il n’est pas. Un vaisseau qui s’enfonce dans l’obscurité, sans phare pour le guider. Il tourna la tête pour observer la jeune femme, rien qu’un instant, rien que pour essayer de deviner ce qu’elle avait dû faire pour le retrouver. Mais il n’en avait pas la moindre idée. Il n’avait averti personne. N’avait laissé aucune trace derrière lui, aucun indice qui pourrait le trahir. Rien. Pourtant. Elle était là, belle Iris. Le feu brûlant dans ses pupilles, un feu qui, fut un temps, Aksel se plaisait à contempler. Sa voix, toujours aussi mordante, réussit à lui voler un mince sourire ironique. Parce qu’elle avait raison, Aksel garda le silence, ne s’efforçant même pas de défendre ses actes, d’expliquer son comportement. Son regard divagua finalement vers Iris, se promenant sur ce visage qu’il avait si longtemps parcouru des yeux, de ses doigts, de ses lèvres. Visage dont il avait embrassé la moindre parcelle. Ce visage qu’il avait si longtemps admiré, et qu’il continuait à admirer malgré les années passées. Une vague de souvenirs le submergeait à mesure qu’il s’attardait sur la jeune femme, une pure étincelle de vie luisant dans ses pupilles. Pendant un battement de cils, Aksel ressentit ce qu’il avait éprouvé à ses côtés. La vie. L’énergie. La passion. C’était comme sentir les rayons du soleil caresser sa peau après une tempête. Comme sentir une douce brûlure envahir chaque parcelle de son être. Mais lorsque dans son champ de vision apparut un anneau scintillant sur lequel les lumières du bar venaient se refléter, toutes émotions s’étiolèrent aussitôt. La chaleur l’abandonna, le froid le gagna. Son corps se figea et la sensation de suffoquer le saisit avec une telle véhémence, qu’Aksel en laissa retomber son verre sur le comptoir. Le russe se leva, incapable de rester assis une seconde de plus. Il déposa quelques pièces sur le bar, avant de traverser la salle à grands pas. L’air glacial le frappa de plein fouet, la morsure du froid, qui s’insinuait à travers les couches de ses vêtements, était exactement ce dont il avait besoin. Revenir à la réalité. Revenir sur Terre. Reprendre le contrôle. Respirer. Le russe passa une main sur son visage, inspirant doucement, emplissant ses sens des différentes odeurs nauséabondes qui émanaient de la ruelle. Puis, parmi ce mélange écœurant se glissa entre une ou deux effluves putrides, le parfum d’Iris. Il n’avait aucun droit d’être aussi bouleversé par l’idée qu’elle était mariée. Non. Aucun. Strictement aucun droit. Il ne pouvait s’en prendre qu’a lui seul. Pourtant, son esprit était ravagé par un feu de colère ardent mais aussi en proie à une profonde tristesse. Il aurait voulu être celui qui glisserait un anneau autour de son annulaire. Il aurait dû être celui qui glisserait un anneau autour de son annulaire. Lui, et personne d’autre. La possessivité qui l’envahissait, une possessivité malvenue, absurde, le terrifiait. Car Aksel était conscient que le loup en était le catalyseur. C’était l’animal qui rôdait dans son cœur qui amplifiait ses émotions, attisait sa rage. La décennie qui s’était écoulée depuis leur liaison importait peu à la bête. Les désirs du loup étaient comme un poison coulant dans ses veines, un poison qui répandait son venin à travers son corps, intoxiquant l’esprit de l’ qu’Aksel se démenait avec lui-même, il sentit les doigts de la jeune femme s’enrouler autour de son bras, délicats et fragiles, aussi légers qu’une plume emportée par la brise. Il ferma les yeux. Rien qu’un instant. Rien que pour savourer l'électricité qui le parcourait, rien que pour se délectait de cette vibration qui se répercutait dans tout son être, rien que pour apprécier la chaleur qui se logeait dans son cœur. Ce geste lui était si familier et pourtant, si étranger à la fois. Il lui semblait redécouvrir de nouvelles sensations, de nouvelles émotions qui demeuraient éteintes depuis tout ce temps. Aksel inspira, essayant de chasser en vain cette douceur qui l’étreignait, regrettant amèrement ce qu’il s’apprêtait à dire et le froid polaire qui rendait son timbre tranchant. “ Si je suis partie, c’est pour une putain de raison. Si je voulais pas que tu me retrouves, c’était pour une putain de raison.” Il aurait dû se dégager, s’éloigner, reculer. Mais il n’esquissa pas le moindre mouvement. Sa main sur sa peau lui avait manqué, terriblement manqué. C’était un contact si innocent, si infime. Et pourtant, ça lui faisait l’effet d’une bombe. “ Tu aurais dû m’oublier, tu as fait ta vie. Pourquoi tu m’as pas oublié ?”marmonna-t-il, posant son regard sur elle. Malgré l’obscurité, il pouvait parfaitement discerner l’éclat de ses yeux. Iris lui provoquait trop de sentiments, trop de sentiments bien trop toxiques pour elle. Son loup n’avait dorénavant aucune intention de la laisser partir, or Aksel gardait un semblant de lucidité, et sa raison lui dictait de s’écarter de la jeune femme le plus rapidement possible. Et c’est ce qu’il fit. Le russe recula brusquement, s’arrachant à l’emprise d’Iris. “ Je veux pas de ton contact.”assura-t-il, alors qu’Aksel se mettait à faire les cent pas dans la ruelle. Le flot de mensonge qu’il débitait semblait intarissable. “ S’il te plaît Iris…”commença-t-il, ébouriffant maladroitement ses cheveux bruns, geste qui trahissait l’angoisse qui l’enveloppait. Il s’arrêta un instant. Contempla la jeune femme. Avant de se remettre à marcher, comme un loup pris au piège. “ Il faut que tu partes. J’ai besoin que tu partes.” Se reflétait dans son timbre...une certaine et profonde détresse, enveloppée dans un froid polaire. Ses murs s’effritaient, et le russe ne voulait en aucun qu’Iris en soit témoin. Non, il avait besoin qu’elle reste là. Il avait besoin de sentir une nouvelle fois sa chaleur. Il avait besoin d’entendre de nouveau sa voix. Il avait besoin de sa présence, rien que pour un petit moment. Mais ce n'était pas raisonnable, Aksel ne le savait que trop bien. Iris St-John[/b] Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 14 Sep - 127 A peine ait-je dis mes mots que je m'en suis limite voulu puisque je viens sans le vouloir de soulever un point qui est bien trop vrai à mon goût...Toi que j'ai regardé, admirer et tant aimer est devenu aujourd'hui un inconnu et cette idée me transperce le coeur. C'est quand tu réagis sous la brillance de l'anneau qui décore mon annulaire que je me rends compte de la stupidité dont je viens de faire part... Je cours après toi depuis des années et quand enfin je te retrouve je n'ai pas la jugeote de retirer ce morceau de métal qui ne représente rien à mes yeux. Ta réaction est immédiate et je la suis comme une élève qui suit son maître, comme les aiguilles d'une horloge suit le peine le pied dehors, je ressens le froid de la saison se faufiler sous mes vêtements pour contracter mes muscles, mais c'est ma main sur ton avant bras qui me donne une sensation que je pensais disparue pour le reste de ma vie. Je pourrais te crier dessus, te sauter dessus en te frappant en nommant chaque coup par la douleur que tu m'as fait ressentir, mais c'est les sentiments, la compassion et l'étincelle de notre amour encore vivant qui prend le dessus puisque dans un souffle presque inaudible j'ai prononcé ton surnom que j'ai bien souvent soufflé au creux de ton cou lors de nos nuits érotiques. Mon souffle est court puisque le froid le saisit à chaque inspiration, mon regard est fragile et mon corps est fébrile... Après tant d'années, tant d'échec, d'illusion j'ai enfin le bonheur de sentir ta peau sur la mienne bien que ce contact est léger, il me procure un bien immense, un apaisement que personne n'est en mesure de comprendre... Digne d'une caresse ce contact me bras toujours présent sur le tien, je suis sur le front sans aucune défense, mon coeur c'est ouvert au moment même où mes sentiments ont pris le pouvoir sur ma raison. Il ne te faut pas longtemps pour attaquer la femme en détresse que je suis en ce moment même, avec cette hargne dont tu as toujours su faire preuve... Seule différence autrefois tu l'as crachais sur les autres, mais je suppose qu'aujourd'hui je ne suis qu'une femme comme une autre à tes paupières clignent rapidement et j'avale doucement ma salive quand le timbre de ta voix tranchant vient à mes tympans, mes lippes s'entrouvre et mon dernier souffle d'espoir quitte mes poumons... Tu ne voulais pas que je te retrouve, tu es partie parce que tu ne voulais plus de moi. Pendant toutes ses années, j'ai tenté de te trouver des excuses plus farfelu les unes que les autres, mais aujourd'hui, maintenant je ne peux plus me cacher la vérité, je ne peux plus faire semblant. Je devrais lâcher ton bras et te dire d'aller au diable pour ensuite reprendre la vie qui m'attend chez moi, mais je n'en ai pas envie... Comme un aimant je suis attirée par toi et la douceur de ta souffle est court et mon cœur est blessé par la dure réalité qui s'offre à moi que je ne trouve pas la force d'articuler quoi que ce soit, mais toi... Toi, tu ne sembles pas en avoir terminé puisque tu marmonnes quelque chose qui a du sens puisque toute personne normale aurait oublié, mais ait-je ne serait-ce qu'un jour été normale ?Ton regard sur moi, je cligne une nouvelle fois des yeux quand brusquement tu recules brisant notre douleur et une froideur prend possession de chaque parcelle de mon corps comme-si perdre ton contact m'envoie dans des profondeurs glacières. Tu continues, tu ne me veux pas, tu ne me veux plus, mon souffle s’accélère et j'ai l'impression que le sol se brise sous mon poids. Mon regard brille sous la cruauté de tes paroles, mon regard quant à lui est perdu dans les limbes de tes ténèbres. Immobile, je ne bouge pas seul mon souffle rapide et l'éclat de mes yeux prouvent que la vie me parcourt toujours. Mes lèvres bougent, mais aucun son n'en sort... Tu emplois une forme de politesse et mon prénom roule sur ta langue alors, que tu ébouriffes tes cheveux autrefois j'aurais compris ce geste, mais aujourd'hui cela signifie t-il toujours la même chose ? Je ne sais pas, je ne sais plus. La gorge serrée par la douleur que tu me procures malgré les années, j'te fixe, je te cherche malgré tout, malgré moi ? Pourquoi ? Je ne sais pas, tu as été pourtant claire tu m'as laissé du jour au lendemain et maintenant encore tu ne veux plus de moi... Alors, pourquoi ? Je ressens toujours cette connexion vibrée entre toi et moi pourquoi ait-je le sentiment que je suis liée à toi jusqu'à mon dernier te regarde toujours, tu marches sur toi-même dans cette ruelle qui depuis peu sera celle qui hantera mes nuits de manière douloureuse. J'inspire fortement pour la première fois depuis que nous sommes sortis mes poumons gonflent sous l'air que j'inspire et je passe ma langue sur le bout de mes lèvres pour faire un pas vers toi. Je ne comprends pas pourquoi je persiste à faire un pas vers toi alors, que tu as été plus que précis dans ce que tu souhaites. Je ne me comprends pas moi-même, mais mon âme a besoin de la tienne, je le ressens ça vibre en moi comme une mélodie que toi seul est en mesure de jouer. Doucement en m'approchant, je murmure > j'effectue un pas de plus vers toi > dis-je doucement en me postant devant toi, il y a plus de quinze ans je t'ai promis de t'aimer jusqu'à mon dernier souffle et cette promesse me suit depuis ce jour, j'étale mon coeur qui saigne malgré tout, je sais que tu peux m'abattre me donner un coup fatale > dis-je dans un murmure doux > j'ai le sentiment que tu ne veux pas que je te vois. Mes mains viennent doucement attraper les tiennes, je prends des risques et j'en suis plus que consciente > dis-je dans un murmure que le vent emporte avec lui. Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 16 Sep - 2300 J'ai dans ma collection de souvenirs une image de toi“I never meant to hurt you, It's just something I guess it's not a good excuse. And she will always hate me,no matter what I say.”Chaque nouveau pas lui prodiguait la sensation de sombrer un peu plus dans un gouffre. Dans un gouffre sans fin. Un gouffre plongé dans l’obscurité, un gouffre où la chute lui paraissait éternelle. Son corps s’enfonçait dans une nuit brumeuse, son esprit se laissait submerger par un océan de ténèbres. Il plongeait dans les méandres de l’obscurité, écho parfait à la souffrance qui le paralysait à cet instant. La douleur qui l’enveloppait lui donnait envie de fuir cette ruelle. De fuir Iris. Elle et les tourments qu’entraînait sa présence. Il voulait disparaître, oublier à jamais cette femme qui, malgré toutes les années, continuait à être le poison dans ses veines, le feu dans ses reins. Sa plus grande faiblesse. Son monde. Il l’avait profondément ancré dans la peau, son âme était la sienne. Liées. Même quinze ans après, la sensation perdurait, persistait, le taraudait. Il ne pouvait ignorer ce sentiment d’appartenir à cette femme, qu’elle veuille de lui ou non, qu’il veuille d’elle ou non. Et ça le terrifiait Aksel. Une vague de peur déferlait en lui à chaque nouvelle minute, à chaque nouveau mètre franchi. Le sol continuait à se dérober sous ses pieds. Encore et encore. Il tombait à l’infini dans une mare de souffrance et de terreur. Croiser de nouveau les yeux d’Iris...après toutes ces années...l’impacte lui était aussi violent qu’une tornade. Mais la bague qui s’enroulait autour de son annulaire ? C’était le coup de grâce. Il ne devrait pas ressentir ça. Il ne devrait pas ressentir cette tempête dévastatrice. Il ne devrait pas laisser ses émotions le gangrener tel un mal incurable. Pourtant, chaque cellule de son corps criait de fureur, hurlait de mécontentement. Le loup fulminait, brûlait, la rage de l’animal n’avait d’égal que la douleur qu’éprouvait l’ allait s’engouffrer dans la nuit, et se fondre dans l’obscurité. Il allait abandonner Iris. Une énième fois. Peut-être finirait-elle par comprendre cette fois-ci. Peut-être cessera-t-elle de s’accrocher à ce qu’ils avaient, à ce qu’ils étaient. Elle ne lui laissait pas d’autre choix. La panique qui venait de l’envahir... Aksel ne pouvait plus la supporter. Son corps se fissurait, son monde se démantelait...et son cœur...son cœur était anéanti, réduit à des morceaux épars aux bords acérés qui le déchiraient avec ferveur, tranchant comme des fragments de porcelaine. Le russe était réduit à un vase cassé. Mais il n’avait jamais eu de fleur pour le décorer. Excepté peut-être Iris, fut un temps. Mais dorénavant...il ne contenait qu’un grand vide pour le torturer. Et voilà que l’amphore qu’il était, amphore au contenu inexistant, gisait au sol, jonchant le bitume de débris éparpillés. Sa voix retentit par-dessus le vacarme de ses sentiments, douce, apaisante, Iris possédait toute l’attention de son être. Même les plus impétueuses. Même de son loup. Ses mots le caressaient, chaleureux et rassurant comme des rayons lumineux, sa voix lui avait toujours évoqué un soleil sous lequel Aksel lézarderait avec insouciance. “ Jusqu’à mon dernier souffle.”murmurèrent-ils à l’unisson, parce que le russe n’avait pas oublié cette promesse. Jamais. Elle était devenue une marque indélébile sur son esprit. Était-ce le bruissement de sa voix, ou la douceur de ses mains contre les siennes, qui lui firent l’effet d’une brise balayant tous ses doutes ? Il n’avait aucune réponse à offrir parce qu’il n’en avait pas la moindre l’aimait encore. Malgré ce qu’il lui avait fait subir. Malgré ce qu’il s’efforçait de lui faire subir. Elle l’aimait encore. Une déferlante d’espoir le traversa, emportant dans son sillage l’inquiétude et la terreur. Mais tomberait-elle amoureuse du loup ? Pouvait-elle tomber amoureuse de ses démons qui dansaient dans ses yeux, qui lui susurraient à longueur de journées des murmures sordides ? Ses démons qui lui chuchotaient à cet instant même qu’il devait l’abandonner une énième fois, parce qu’il était voué à la faire souffrir éternellement ? Non. Impossible. Elle ne pouvait pas l’aimer... Iris...elle, elle se trompait. Elle ne pouvait pas l’aimer comme il l’aimait lui, depuis toujours. Il n’avait jamais cessé, l’état dans lequel il était plongé actuellement en était la preuve. “ S’il te plaît Iris...”commença-t-il. Alors que le diable lui murmurait de disparaître, Aksel resta sourd aux supplications de ce dernier et attira la jeune femme contre lui en glissant ses mains dans son dos. Son corps contre le sien... Bon sang. Il fallait qu’il recule, qu’il reprenne contrôle de son esprit. Il fallait qu’il regagne l’obscurité qui l’appelait...mais malgré la ferveur de son appel, il était insignifiant en comparaison à celui d’Iris, silencieux et étouffé. Et pourtant plus bruyant qu’un océan déchaîné pour ses oreilles. Ses mains quittèrent le creux de ses reins pour trouver la courbe de sa nuque, où ses doigts s’attardèrent un instant sur la parcelle de peau nue avant de capturer son visage entre ses larges paumes. Leurs souffles s’entremêlaient, et malgré le froid glacial de la nuit, son cœur se réchauffa. “ Il faut que tu partes...il faut que tu retournes auprès de ton mari.” Aksel sentit son corps devenir corps de verre, dénué de toute opacité, s’enveloppant dans une transparence qui reflétait le moindre de ses secrets, la moindre de ses émotions. Elle avait toujours eu cet effet-là sur lui Iris. Comme si son regard décelait tout ce que camouflait sa peau, tout ce que renfermait son esprit. Qu’importe l’épaisseur de ses vêtements, il aurait toujours l’impression d’être nu face à cette femme. Vulnérable. Il respira son parfum et s’imprégna de cette odeur qui lui avait tant manqué. Il déposa son front contre le sien alors qu’entre ses doigts agités par des tremblements, il emprisonnait avec douceur sa mâchoire. “ Tu n’aurais jamais dû revenir…”souffla-t-il, alors que ses yeux se fermaient, profitant de ce calme dans lequel il était brusquement plongé. Iris St-John Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 20 Sep - 012J’ai dans ma collection de souvenirs une image de m'approchant de toi comme je viens de le faire, je mets au placard mes bouclier, je détruis moi-même les remparts présents autour de mon organe vital qui bat pour toi depuis si, longtemps maintenant. Je me mets à nue devant toi pour retrouver ne serait-ce qu'une touche de la douceur que tu me portais à l'époque. Je te cherche dans le regard que tu me lances, je cherche l'homme que j'ai connu puisque je suis certaine qu'il est toujours quelques parts en toi, je sais qu'il est là je le sens, je le ressens à moins que ce ne soit que le fruit de mon imagination ? Impossible, je vibre quand tu vibres rien qu'un souffle de ta part me transperce d' sais que je prends un risque en venant à toi de cette manière en saisissant tes mains sans ta permission, mais j'ai besoin de te sentir, j'ai besoin de ton contact pour ne pas sombrer dans la froideur du néant maintenant que tu es là devant moi, j'ai besoin de respirer ton parfum, j'ai besoin de m'enivrer de ta chaleur, je ne peux pas te laisser partir une fois de plus je n'en suis pas capable, je n'en ai pas la force. Alors, je prends ce risque sans réfléchir aux conséquences que tes paroles, actions pourraient me faire sans prendre la peine de penser au dégât que tu es en mesure de m' rappeler la promesse que je t'ai faites il y a plus de quinze ans aujourd'hui me semble normal, mais quand je t'ai entendu la murmurée avec moi une partie de mon cœur ses réchauffer laissant même la partie glacée et condamné par la douleur de ton absence ressentir un petit réchauffement. Tu ne te rends pas compte de ce que tu m'apportes de la puissance de ce moment. Oh Aksel, tu ne te rends pas compte que je me traîne depuis des années pour tenir le coup, tu ne sais pas que sans notre fille je serais probablement quelques parts avec une balle dans la tête puisque mon amour pour toi me bouffe, me détruit quand tu es absent. Comment te le faire comprendre ? Comment puis-je te faire ressentir ce que je ressens pour toi. Toi, Aksel tu es bien plus que mon amour, tu es la lumière dans la noirceur, tu es mon oxygènes... Je suis liée à toi que tu le veuilles où non. Il n'y a pas d'Iris sans toi, il n'y a jamais eu d'Iris sans toi...Mes mains sont dans les tiennes et je t'offre bien plus qu'un pardon en ce moment même, mais t'entendre me supplier m'alerte face à ce que tu ressens, je te bouleverse je le ressens au plus profond de mes entrailles pourtant je ne bouge pas puisque je refuse de te laisser partir puisque je ne suis pas en mesure de te laisser partir une énième fois. Quand tu m'attires à toi et que je sens tes mains glisser sur mon dos mon souffle se saccade et mon corps frémit sous la gourmandise que tu m'offres. Mon regard dans le tien j'halète non pas de désir charnel, mais d'amour, de sensation, d'émotion aucun mot ne sort de ma bouche, mais je sens mon coeur battre au rythme du tiens. Je cligne les paupières d'une manière tendre et conquise quand tes mains quittent le creux de mes reins pour rejoindre la courbe de ma nuque le contact de ta peau sur la mienne me fait trembler et mes lèvres suivent ce tremblement visible à l’œil nu, mon souffle haletant s'entremêle au tiens et je ne ressens plus le froid glacial de la nuit, mon cœur semble retrouver la totalité de ses fonctions grâce à nouvelles paroles me font crisper un peu les traits de mon visage dans une ligne d'incompréhension, je sais que tu ressens ce que je ressens, je sais que tu vibres comme je vibre alors, pourquoi mets tu autant d'ardeur à m'éloigner de toi. Mes lèvres se rejoignent un instant puis, je finis par te répondre doucement oubliant où nous sommes puisque seul toi et moi m'importe, puisque j'ai l'impression d'être dans une bulle d'espace temps où seul toi et moi vivons, partageons et respirons > ma voix est claire, net, mais lancinante puisque tu m'obsèdes. Tu n'as pas le droit de me refuser pas après toutes ses années, tu n'as pas le droit de me laisser une nouvelle fois, tu n'as pas le droit de me détruire le peu de fondation qu'il me reste et pourtant, malgré ton front qui se pose sur le mien et la douceur de tes mains qui prennent possession de ma mâchoire tes paroles tente de me faire comprendre que je ne suis pas à ma place à tes salive glisse lentement dans mon gosier et mes mains jusqu'ici présente sur le long de mon corps remonte sur ton torse que je connaissais par-cœur, ma main droite remonte doucement sur ta joue que je caresse de mon pouce et je murmure > le regard dans le tien je me mets doucement sur la pointe des pieds pour rattraper les centimètres qui nous séparent et mes lèvres ne sont plus qu'à quelques millimètres des tiennes. Je sens ton souffle chaud s'éclater sur mes lèvres désireuses de goûter à la douceur des tiennes et je ne résiste pas longtemps puisque doucement mes lippes se pose de manière délicate sur les tiennes pour commencer un jeu de lèvres doux, volupté. Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 22 Sep - 1327 J'ai dans ma collection de souvenirs une image de toi“I never meant to hurt you, It's just something I guess it's not a good excuse. And she will always hate me,no matter what I say.”Il ne faut pas qu’elle parte, lui hurlait tout son être. Iris était si bien là, aux creux de ses bras, calée contre son torse. Il ne faut pas qu’elle parte. Elle lui prodiguait une vague de chaleur, une vague, de vie, d’énergie, qu’il n’avait pas ressentie depuis si longtemps. Son palpitant s'affolait et dans sa course endiablée, Aksel prenait conscience que son coeur palpitait pour la jeune femme, qu’il avait toujours palpité pour la jeune femme. Comme l’air qui l’entoure, comme le soleil pour une rose, Iris lui était vital. Cette sensation de revivre, il ne l’éprouvait que lorsque son corps épousait le sien. Non, il ne devait pas la laisser partir. Qu’importent les risques, il apprendrait à se maîtriser. Il apprendrait, pour elle, pour eux, pour l’amour qu’il voyait brillait dans ses yeux, pour son coeur qui battait à l’unisson avec le sien. Aksel était incapable de calmer la violence de ses sentiments. C’était impossible. Pas quand il sentait la ferveur des émotions que lui vouaient Iris. Pas quand il l’avait si proche de lui. Si proche...son corps était parcouru de frissons, de délicieux frissons qui n’étaient en rien provoqués par le froid mordant de la nuit. Il désirait tant que le gamin effrayé qu’il était lorsqu’ils se sont rencontrés, se soit évaporé avec le temps. Qu’il ne soit plus qu’un lointain souvenir. Aksel lui aurait alors décroché la lune, si Iris le lui avait demandé. Il aurait fait de son corps un rempart pour elle, pour lui, pour se protéger de la dureté du monde extérieur. Mais au fond, la peur ne l’avait jamais quitté. Le loup était le catalyseur de cette terreur qui l’habitait, de cette souffrance qui même à cet instant, rendait la proximité d’Iris presque douloureuse. Il voulait être l’homme qu’elle méritait, il le désirait de toute son âme tourmentée. Mais comment...comment pouvait-il incarner cet homme-là ? Il n’était qu’une bête, ou, du moins, un homme dévoré par le tempérament d’un prédateur. Tôt ou tard, peut-être finirait-il par la blesser. Et si jamais cela venait à arriver, Aksel ne se le pardonnerait jamais. Plutôt déserter la vie que d’être un danger pour Iris. Non, il n’aurait jamais dû partir. Mais il n’aurait jamais dû tuer cet homme. Il n’aurait jamais dû déclencher la malédiction. Alors il serait resté auprès de sa belle pour l’éternité, et gare à celui qui aurait tenté de l’en séparer. Mais les aléas de la vie...l’avaient frappé en plein coeur, l’impact aussi douloureux qu’une balle d’argent traversant sa poitrine. Il sentit alors un léger mouvement, presque infime de la part d’Iris. Ses lèvres franchirent alors les quelques centimètres qui les séparaient, dévorant la distance qui les tenait éloignée l’un de l’autre. Sa bouche s’écrasa sur la sienne avec une douceur infinie, et le goût miellé de la jeune femme l’envahit aussitôt. Un déluge de sensation dévala son corps, tandis qu’un éclair d'électricité le traversa. Ses mains glissèrent sur ses hanches pour la maintenir contre lui, désireux d’éterniser cette étreinte. Sa présence emplissait tous ses sens, et une pure déferlante de plaisir caressa son être. Il retrouva alors des sensations qui lui étaient familières et qui, pourtant, sonnaient comme une découverte. Aksel se noyait au goût de ses lèvres pleines et délicates, s’égarait loin de la réalité, ne souhaitant plus que se perdre totalement en elle. Le monde sombrait doucement autour d’eux, alors que sa langue vint trouver celle d’Iris pour commencer un ballet endiablé et baiser était vibrant d’un plaisir grandissant, d’un désir dévastant, d’un amour trop longtemps endormi, d’une passion déchaînée...lippes contre lippes, il plongeait Aksel. Il plongeait au coeur de cette ferveur qui les consumait tous deux, de cette douceur qui les transportait, de cette délicatesse qui lui avait tant manqué. La délicatesse d’Iris. Subtile, fugace, mariée à une passion explosive. Seigneur, qu’il aimait cette femme. Qu’il aimait sentir son corps s’embraser, qu’il aimait sentir sa peau brûlait sous son toucher. La lumière disparaissait. L’univers qui l’entourait devenait flou, brumeux, nébuleux. Il sentit la pression du loup contre son être, la douleur de ses griffures contre son cœur, les hurlements qui balayaient tous ses songes. Un feu véhément naquit aux creux de ses reins tandis qu’un désir primitif l’envahit brutalement. À l'instant même où Aksel sentit l’animal s’échapper de son contrôle, Aksel se recula brusquement, rompant alors le contact. Le bruit de sa respiration saccadée remplissait le silence de la ruelle. Son cœur frappait dans sa cage thoracique. Ses mains tremblaient, non, tout son corps chancelait. Ses yeux sombres avaient pris un éclat mordoré. Il réalisa alors qu’il ne serait jamais l’homme qu’Iris méritait. Jamais. Il n’avait aucun contrôle sur lui-même. Aucun. Il était une menace, un véritable danger pour elle. Tôt ou tard, il finirait par abîmer son si joli visage. Tôt ou tard, il finirait par estropié ce corps qui le rendait fou. “ Tu ne me laisses pas le choix Iris.”lâcha-t-il, tandis qu’il s’avançait soudainement vers elle, sa décision prise. Il ne pouvait plus reculer, et il devait...étouffer dans l’œuf les sentiments qui s’étaient éveillés en lui. Une bonne fois pour toute. Plus de marche arrière. Plus de bond dans le passé. Aksel devait se focalisait sur l’avenir, sur un avenir sans Iris. Un avenir morne et terne, où son loup finirait par prendre entièrement possession de lui.“ Non...tu ne me laisses pas d’autres choix.”Sans prévenir, il éleva le bras et abattit sa main contre le haut de son crâne. Un coup sec. Brutal. La douleur qu’il éprouva en la voyant retomber inerte dans ses bras, n’avait d’égal que la colère et le dégoût qu’il ressentait pour lui-même. Aksel s’abaissa doucement, et blottit le corps d’Iris contre son torse. Il entoura ses bras autour de sa silhouette, essayant vainement de contrôler les tremblements qui agitaient ses mains. “ Je suis désolé...tellement désolé...je t’aime trop pour te laisser rentrer de nouveau dans ma vie. Tu m’es trop précieuse. Je veux pas...je veux pas te blesser, tu sais. Tu mérites un homme qui soit à la hauteur, et je ne suis pas cet homme.”Il enroula sa veste autour de son corps, craignant qu’elle prenne froid. “ Je ne serais jamais cet homme.” Une larme, silencieuse, fragile, roula le long de sa joue et Aksel se figea. Le monde se brouillait lentement, et Aksel s’accrocha au corps d’Iris. Son phare dans l’obscurité. Son phare dans la tempête. La toxine qui le rendait lui, et son loup, fou de désir, furieux, possessif, violent. Instable. Il la garda contre lui sa toxine, trop faible pour s’en détacher, comme un addict accro à sa drogue. Une vague de tristesse déferla en lui, si violente, si profonde, qu’elle étouffa les sentiments de son loup, qu’elle étouffa la colère qui le rongeait comme un poison. Il inspira son parfum, une dernière fois. Il s’imprégna d’elle, une dernière fois. Bien que c’était inutile, il l’avait déjà dans la peau. Et elle, elle avait son cœur. Son palpitant lui appartenait et peu importe le semblant d’avenir qui attendait Aksel...son palpitant appartiendrait toujours à sa belle et explosive Iris. C’était pour leur amour qu’il tremblait de détresse, qu’il pleurait de désolation. Pour ce lien, indestructible, qui l’unissait à elle. Aksel se redressa finalement, maintenant solidement le corps d’Iris contre le se haïrait toute sa vie pour ce qu'il venait de faire. Mais qu'importe ce qu'il devait sacrifier pour sa protection, rien n'avait autant de valeur que la vie d'Iris et son bonheur. Il ne lui restait plus qu’à la ramener chez elle, qu’importe où se trouvait sa demeure, et prier pour qu’elle ne le retrouve plus jamais. Iris St-John Invité Invité Re Aksel & Iris - J’ai dans ma collection de souvenirs une image de 23 Sep - 2358J’ai dans ma collection de souvenirs une image de ne sais pas comme je m'en veux de t'avoir forcé à dépasser des limites que tu t'étais certainement imposé puisque je ne suis pas assez idiote pour ne pas avoir remarqué la coïncidence des événements... Au fond de moi j'ai toujours cru que les actions que tu as faites la veille de ta disparition t'ont forcé à prendre la fuite cependant, jamais je n'ai pu imaginer que tu es partie parce que tu le voulais... J'ai été assez naïve pour croire qu'un chantage où une connerie de ce genre t'avait forcé la main, je me suis forcée à croire un tas de choses qui je me rends compte aujourd'hui est complètement absurde. Je devrais être sur le chemin du retour pour retrouver la maison que mon mari m'a offerte en cadeau de mariage, je devrais m'éloigner de toi pas après pas, mais je ne peux pas empêcher mon cœur de battre au rythme du tiens et j'ai bien peur que rien ne pourra changer cela. J'ai bien peur que seul l'arrêt absolu de mon cœur pourra le mettre en il bat comme jamais il n'a battu en quinze longues années il retrouve une cadence presque inédite, oh Aksel entend-tu cette douce mélodie que nos cœurs fredonne à l'unissons ?Je devrais retourner chez moi pour y retrouver ma famille, je devrais retourner chez moi... Mais comment suis-je censé retourner chez moi alors, que c'est dans tes bras que je me sens à ma place. Réalise-tu que je m'essouffle à vivre sans toi ? Pense-tu qu'une fois encore je vais laisser s'enfuir notre histoire ? Comprend-tu que je ne peux pas te dire au revoir ? Comment, s'il te plait dit moi comment tu as fait pour trouver la force pour tirer un trait sur notre amour, s'il te plait aide-moi à t'oublier comme tu l'as, si bien fait... Je t'en prie j'ai besoin de toi, j'ai besoin de tes bras de tes lèvres, de ta voix pour renaître de mes cendres... Inerte de l'intérieur je suis sans tes bras autour de moi sais-tu ce qu'elle sentiment ressent-on quand tout est mort en nous ? J'ai besoin de respirer, j'ai besoin... Mon dieu j'ai besoin de tes lèvres sur les miennes pour le reste de l' sais que je n'aurais pas dû prendre les devants et franchir les centimètres qui nous séparent, je sais que c'est mal, mais je ne peux pas te laisser filer maintenant que je t'ai retrouvé. Je veux vivre, je veux reprendre vie à tes côtés. Je t'en supplie réanime moi... A ma plus grande satisfaction et surprise tes lèvres se laissent caresser par les miennes, tes mains présentes sur mes hanches chasse les démons du passé d'un simple courant d'air tandis que tes lèvres douces, mais rugueuse à la fois attise les flammes de mon âme presque éteinte. lippes la chaleur retrouve doucement mon corps et je frémis non pas de froid, mais de bien être. Doucement je sens ta langue franchir la barrière de mes lèvres pour retrouver la mienne qui n'est pas timide et qu'elle accepte cette danse endiablé que tu lui proposes. Je suis en plein rêve en plein fantasme et j'ai le sentiment de vivre pour la première fois quand tu brises ce moment en te reculant subitement, je te regarde avec surprise et je pince mes lèvres qui ressente encore la pression des tiennes, le goût de ta langue est toujours sur la mienne alors, que tes paroles me font plisser doucement les yeux et je te réponds > dis-je doucement en le regardant s'avancer à nouveau, mon coeur est toujours en pleine pente puisqu'il bat à un rythme qui dépasse les lois de la physique > dis-je doucement en m'approchant un peu de toi comme pour te retrouver, retrouver ce moment que tu viens de briser. Je te regarde avec intensité, passion, envie et tendresse loin est ma colère, loin est ma rancune un baisé et tu as tout balayé alors, quand je te vois lever l àcause de toi mon coeur saigne. 26 Jan 2022

Faut j'me roule un teh Avant que j'me tue avant qu'on m'interne J'en ai marre de vivre avec ma peine Vers le bonheur ces salopes me freinent Tu peux supprimer nos photos sur ton iPhone C'est à cause de toi si j'peux plus donner mon coeur à une femme C'était pas une raison même si t'était folle De vouloir gâcher ma vie de vouloir me faire du mal mal mal Au final à quoi ça sert les sentiments ? Et quand j'te dis la vérité tu me dis toujours que j'te mens J'ai si mal et ça tu l'a pas senti non Tu m'prends pour ta salope quand avec toi j'me comporte gentiment Et cupidon j'ai décimé mon cœur est en ciment J'croyais qu'on s'aimait quand on baisait intensément Et dans ses mains, j'ai laissé mon coeur elle m'la rendu saignant Et maintenant le démon c'est moi pour moi le paradis c'est non non Et j'te pardonnerai jamais Tu voulais m'ôter la vie quand moi j'voulais te l'a sauver Tu t'crois dans un animé Tu crois c'est cool de jouer les Yandere Pour moi t'as plus d'intérêt donc on baisera que dans t'es rêves sale pute Et non j'vais pas m'excuser sale pute J'en ai rien à branler si tu t'bute Ouais t'es qu'une sale pute Elle fait des rêves où elle m'exécute Ouais mon ex est cute Mais elle méritait des coups d'cutter Faut j'me roule un teh Avant que j'me tue avant qu'on m'interne J'en ai marre de vivre avec ma peine Vers le bonheur ces salopes me freinent Tu peux supprimer nos photos sur ton iPhone C'est à cause de toi si j'peux plus donner mon coeur à une femme C'était pas une raison même si t'était folle De vouloir gâcher ma vie de vouloir me faire du mal mal mal Au final à quoi ça sert les sentiments ? Et quand j'te dis la vérité tu me dis toujours que j'te mens J'ai si mal et ça tu l'a pas senti non Tu m'prends pour ta salope quand avec toi j'me comporte gentiment Et cupidon j'ai décimé mon cœur est en ciment J'croyais qu'on s'aimait quand on baisait intensément Et dans ses mains, j'ai laissé mon coeur elle m'la rendu saignant Et maintenant le démon c'est moi pour moi le paradis c'est non non Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM

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  • a cause de toi mon coeur saigne parole